Garçon ? Y'a un iel dans mon jeu!

Idem pour moi, au debut c’est un peu lourd et puis après on n’y fait plus trop attention.

Pour moi, oui ca reste utile car justement ça normalise la chose.
Je me rappelle par exemple, à l’epoque du 7thContinent (mon 1er KS #nostalgie :heart_eyes:), j’avais croisé les doigts pour avoir un perso féminin et j’avais été étonnée de voir les reticences et débats que cela pouvait entrainer. Pourtant c’etait uniquement un souhait et pas un reproche fait au jeu. Aujourd’hui, je pense que c’est plutot logique pour tt le monde de voir des persos feminins dans ce type de jeu et ça ne souleve plus (ou presque plus me semble-t-il) ce genre de débats.

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Je comprends, on a tous nos sensibilités :wink:

Il n’y a guère que des hommes avec peu d’empathie pour ne pas comprendre l’importance de l’inclusion. Perso je le vois à chaque occasion avec ma fille qui veut absolument un perso féminin et est vraiment déçu quand il n’y en pas. Bien sûr que ça joue sur l’immersion. Nous les mecs on s’en fout, on a grandi avec 80% des perso masculins on n’est pas gêné quand une fois de temps en temps il faut jouer un perso féminin (au contraire ça change), la situation inverse est très différente. Mais ça tend a changer et c’est TRÈS cool (pour ma fille notamment) :slight_smile:

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Là tu fais un amalgame de tout dans un gros bloubiboulga.

Je fais du JDR depuis 30 ans, et j’ai joué plus de persos feminins que masculins.
Les persos feminins je trouve ça très bien dans un jeu. Pourmoi ça apporte une diversité de choix bien plus intéressante que s’il n’y en avait pas.

Par contre, je ne supporte pas l’inclusion visible dans l’écriture, quelle qu’elle soit. Pour moi c’est comme si :

  • Tu aicrivê komac. Cet oribl !

  • Où comme si tu ferais des faute de conjugaisons où de grammaires.

Cela n’a rien à voir avec le sexisme, cela a à voir avec les règles.

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Je vois mal le rapport avec l’inclusion. Pour moi, c’est plus une question de représentativité. Et, non, les deux ne sont pas forcément liés. Accessoirement, le second est plus fonction du public réel (ou estimé) d’un jeu (ou autre produit) et donc de son impact économique.

Pour moi la représentativité est importante et liée tout de même au sentiment d’inclusion dans le sens ou sans représentativité tu peux vite avoir l’impression d’etre exclus, dans le sens effacé.

Apres, je comprends que ca prenne du temps et que le changement puisse bloquer parfois. Dans d’autres domaines, je peux aussi parfois etre reticente et puis bien plus tard changer d’avis ou pas d’ailleurs.

Dans le cas precis, je me rejouis clairement que ceux a qui ce type de representation manquait puisse en profiter et le jds soit ouvert a un maximum de personnes, meme si elle ne sont pas la majorité.

Je comprends l’argument marketing qui vise a plaire à la cible. C’etait d’ailleurs souvent un argument mis en avant a l’epoque car le hobby etait encore fort masculin. C’est argument legitime et cohérent etant donné que le but est tt de même de vendre un produit. Toutefois, je trouve que ce genre de changements progressifs a permi d’ouvrir justement le hobby à plus de personnes. Par ailleurs, meme s’il s’agit d’un produit, je le vois aussi comme un bien culturel et c’est pas plus mal s’il fait avancer les choses ou marque son positionnement sur ces aspects.

Personnellement, ca me dirait bien aussi de jouer des perso queer ou non genré. Pourquoi pas finalement

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Mon petit de 5 ans regardait la télé quand tout à coup j’entends quelque chose de génial.

Grâce à Netflix et co les prochaines générations trouveront normal d’avoir des non binaires dans les jeux de sociétés et partout ailleurs. C’est vraiment super.
Je suis content qu’à 5 ans on lui explique ce genre de chose. Merci Netflix. Je vais recommander cette série à son école.
(Enfin faudra juste qu’ils utilisent iel et pas qu’ils traduisent directement le pronom anglais)

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Alors, pour ceux qui savent pas @anon74078997 est certainement sarcastique. La série vient d’être annulée aux USA, et Zemmour n’a pas tardé à s’en féliciter, en s’accaparant son annulation (comme le guignol opportuniste qu’il est).

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Ah bah je pensais qu’il était sincère. Ma fille de 8 ans suivait une série qui a abordé ces thèmes assez basiquement et simplement, et j’ai trouvé ça cool je pensais que c’était ladite série.
Quand un jour une copine lui dira « je ne me reconnais pas comme fille », bah au lieu de se foutre de sa gueule elle lui dira « ah OK », changera de pronom, et basta. Simple, basique.

Effectivement, grâce à ce genre de conneries cette génération sera plus ouverte, et si ça paraît inutile/futile à certains de ceux qui ne trouvent pas ça carrément néfaste, il ne faut pas oublier le principe de la fenêtre d’Overton.

Et pour en revenir au sujet, le monde du jeu de société est très en retard sur tous ces sujets, on en est encore à essayer de penser à la parité, donc c’est bien que les règles du jeu incluent aussi ces évolutions.

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Tu penses vraiment qu’un dessin animé va éveiller la conscience de ta fille sur ces thèmes ?

C’est une vraie question parce que j’hésite entre l’hilarité et le facepalm ou je suis complètement à la masse. Je croyais que c’était aux parents de le faire.

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Ben moi, je trouve cela assez déplorable. Pour moi ce n’est pas une avancée. Un homme, une femme, c’est biologique, pour ceux qui ne se reconnaissent ni dans l’un, ni dans l’autre, personnellement, je pense que c’est un problème psy mais, visiblement, cette pensée qui pourtant a fait des dégâts irréversibles en Suède et au Canada (avec des organismes privés qui ont encouragé les parents à faire faire des opérations à leurs enfants parce que le gamin se 'cherchait"), apparait, en France comme le summum de l’ouverture d’esprit.
Après, rendez-vous dans 15 ou 20 ans (constat réalisé dans les deux pays cités ci-dessus car bien en avance sur nous sur ce type de sujet) et on en reparlera, et on fera comme eux, machine arrière toute, mais trop tard !

Attention, ce n’est que le fond de ma pensée. Personnellement, une personne qui me dit je ne suis ni homme, ni femme, appelé moi « iel », si cela peut lui permettre d’être heureux, cela ne me gênera pas de lui dire « iel », même si dans mon esprit, cette personne est dans un déni qui pour moi relève d’une pathologie.

Alors, évidemment, le considérer comme une avancée culturelle, pour moi, c’est non ! Mais je n’irais pas tenter de convaincre cette personne.

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Non, ça ne va pas « éveiller sa conscience » elle va juste savoir que ça existe (sera donc moins surprise / encline à se moquer ou mal réagir) et comment agir pour ne pas blesser involontairement.

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Tu trouveras toujours des débiles partout. Attendre d’un enfant un avis définitif sur sa sexualité (!!!) ou même son genre c’est con.
Tu dis que ça relève de la maladie psy, soit, mais je rappelle qu’on disait la même chose de l’homosexualité il y a pas si longtemps.

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Merci pour la réponse. Je n’ai plus d’hésitation.

Mais, ça, c’est aussi ton rôle de parent, non ? Zacharie est un peu jeune (5) mais ce sont des conversations qu’on a eu avec Gaspard (a partir de 7 ans probablement).

« Il » ? Tu te bases sur quoi pour parler de moi avec « il » ?

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Non, non, je n’affirme pas, je dis simplement que c’est le fond de ma pensée.
Je suis parfaitement conscient que je ne détiens pas la vérité absolue.
Ensuite, l’homosexualité à toujours existé et n’est pas dans un rejet ou un déni biologique. Tu es homosexuel ou homosexuelle, tu es attiré par des personnes du même sexe que toi mais tu n’es pas dans le déni d’une chose factuelle : Pour moi, tu ne peut pas, biologiquement, n’être ni un homme, ni une femme. Si tu as ce sentiment, c’est que tu as un soucis ! Par contre, tu peux parfaitement être un homme et ne pas te reconnaître en tant qu’homme et pareil pour une femme et, encore une fois, pour moi, c’est totalement différent.
Mais penser que tu es une « chose » ou un « être » asexuée, c’est biologiquement impossible et penser le contraire c’est, pour moi, totalement inconcevable.

D’ailleurs, j’irais même plus loin, je pense que c’est une mode. Cela ai apparu venant d’outre atlantique et plus précisément d’Amérique du Nord, la « déconstruction » sexuelle de l’individu, et, ayant des amis Canadien, j’ai pu en discuter avec eux et ils sont en train d’en revenir de ce courant de pensée. Mais le mal est maintenant profond avec des ramifications jusque dans les écoles où l’on amène les enfants à se poser la question « existentielle » : Suis-je un homme, une femme ou ni l’un ni l’autre ?
C’est tout simplement démentiel à un âge où, justement, l’individu se cherche et se construit.

Après je passe sur le fait (surtout en France) que les tenants de cette pensée, si tu es contre celle-ci, tu es forcément réactionnaire, extrême droite, fascho, Zemmouriste, Lepeniste …

Alors que pas du tout. Moi, par exemple, je suis contre le wokisme, la cancel culture, je ne comprend pas cette histoire de « iel », je suis contre la GPA mais le mariage pour tous ne me pose aucun soucis, je comprend parfaitement les problèmes que ressentent les transgenres et l’homosexualité ne m’a jamais posé de problème.

Par contre, comme à Bordeaux, faire intervenir des drag queens dans des écoles ou dans des réunions culturelles scolaires afin de faire réfléchir les enfants sur les différences, je trouve que c’est même caricaturer les homosexuels et homosexuelles alors qu’en science naturelle, le professeur pourrait très bien ouvrir les esprits, d’une manière bien plus respectable pour tout le monde plutôt que de faire en sorte de « choquer » les esprits, ce qui engendrera, systématiquement, un rejet pour beaucoup.

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Peut-être parce que tu as ecrit ‹ je suis content › et non pas contente?

C’est la forme neutre, oui. Ça indique que ce n’est pas elle c’est tout :slight_smile: il reste plusieurs pronoms de nos jours.

Effectivement, je n’ai pas pensé à iel, mea culpa.
Du coup, je repars de la discussion :grinning:

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