2007 
Ok j’avais zappé qu’il existait une edition révisée 
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Enfin ! J’ai pu me lancer dans
Great Western Trail New Zealand … en solo.
Des semaines qu’il était mis en place sur une table à la campagne, mais quelques priorités autres et impromptues m’avaient empêché de me lancer.
De retour sur place pour les vacances, ça y est, enfin, je peux me frotter à Sarah (sans #MeToo, en tout bien tout honneur). Relecture des règles, et démarrage d’une partie solo. Moi, jaune, et Sarah, rouge, nous lançons dans le convoyage de moutons à travers le pays jusqu’à Wellington.
Spoiler alerte : j’ai a-do-ré cette partie !
Et pourtant …
ça fait un moment qu’un jeu ne m’avait pas donné autant de fil à retordre.
Non pas que les règles soient mal écrites, bien au contraire (le déroulé des règles est plutôt clair, et on y retrouve rapidement ce qu’on cherche, heureusement), mais simplement que pour une raison que j’ignore, j’ai fait un blocage total sur l’assimilation de l’iconographie … im-po-ssible de déduire naturellement de la plupart des icônes les actions correspondantes (faut dire qu’il y en a un paquet, d’icônes). Mon cerveau a buggé totalement … pas aidé par la taille desdites icônes, absolument pas myope-friendly (mais alors, pas du tout du tout).
Bref, je crois que je n’étais jamais aussi souvent retourné à la règle en cours de partie sur aucun jeu, ni que j’ai dû aussi souvent me lever pour me pencher sur le plateau ou attraper une tuile pour me la rapprocher des yeux pour être capable d’en déchiffrer les icônes. Une purge … la faute à mes neurones et à ma vue (mais l’icono est vraiment tout mini partout).
Et pourtant, j’ai adoré cette première partie
La variété des stratégies possibles, les choix permanents, les scorings dans tous les sens, le tout sur un thème sur le papier tellement peu glamour (des moutons, vraiment ?), mais en réalité tellement prenant (« ah mais tiens, faut que je m’en achète du qui sort de la laine quand même ! »), le tirage de bourre avec Sarah, et la progression inéluctable vers la fin rythmée par l’avancement du jeton des tuiles bonus, la partie est passée tellement vite sans que je m’en aperçoive !
Je ne sais pas à quel point les versions originales et Argentine du jeu offrent le même type de sensations , et j’ai même cru comprendre que c’était très différent, mais ce mélange de mécaniques (ressources, draft, construction) fonctionne à merveille sur moi. Vraiment.
Je suis parti sur une approche marquée navigation (partir améliorer des ports) et bergères (pouvoir acheter du mouton de compèt’ à pas cher), délaissant la tonte et la construction de bâtiments (réduits à la partie congrue de mon activité), voyant très vite qu’on ne peut et surtout ne doit pas tout faire. Certes, cela guide certains choix, mais la tentation de se disperser reste forte; Heureusement que Sarah cavale, elle, la bougresse, ça motive à faire des choix tranchés, parfois à contrecoeur tant on a envie de tenter plein d’approches différentes (mais il y aura les autres parties pour ça).
Et clairement, c’était fun.
La construction du moteur (mon deck de carte) m’a semblé poussive au démarrage, mais dès qu’il se met en marche et commence à donner ce qu’on en attend, la montée en puissance est jouissive, et arriver à Wellington avec une main de 6 cartes pleine de moutons différents est juste jubilatoire quand le plan se déroule sans accroc. La dopamine délivre à plein 
Bref, les possibilités offertes par le jeu, même avec un nombre incalculable de retours à la règle pendant la partie (mais là encore, je ne blâme pas la règle, c’est vraiment moi qui ai fait un blocage, je crois) donnent une seule envie : y revenir pour tout tester, tout tenter, explorer tout ce que le combotage peut offrir sur le jeu.
Allez, le plus difficile à intégrer, peut-être, les règles de décision de l’automa, mais qui une fois assimilées permettent de jouer le tour de Sarah ultra rapidement (le fonctionnement de l’automa en lui même est d’une simplicité déconcertante : on pioche une carte on applique les effets, et-pis-c’est-tout, avec une version simplifiée de livraison de troupeau à Wellington). Bref, au fil de la partie, le rythme de jeu s’accélère pour devenir ultra fluide - modulo l’'AP dont peut faire preuve le joueur Solo face à l’étendue des choix qui s’offrent à lui.
Quelques erreurs de règle durant la partie (notamment sur la mise en jeu des objectifs), quelques erreurs de jeu tout court (déblocage trop tardif de l’augmentation de la taille de ma main, pas assez dépensier sur mon or … j’ai laissé Sarah dévaliser les pioches de cartes bonus), mais tien que du calage normal pour un tel jeu (l’important étant de se rendre compte de ses boulettes).
Joli matos et deluxification
Côté matériel, le jeu est chouette. Cartes de bonne qualité, plateau lisible (encore une fois modulo la taille des icônes pas sympathique pour qui a comme moi la vue qui baisse), par contre le matos prend une place folle sur la table : plateau principal, plateau navigation, plateau joueur, et plateau automa, ça s’étale et il faut de la surface. Injouable sur sa table de salon.
Les meeples cow boys sont trop choupis avec leurs chapeaux, les marqueurs bois (disques, cubes) font parfaitement leur job, et les plateaux joueurs double couche sont juste un bonheur pour les manipulations en jeu. Du tout bon.
Côté mise en place, c’est potentiellement long (et le rangement encore plus). Anticipant que le jeu allait me plaire, j’ai craqué pour un insert eRaptor imprimé UV. Et bien m’en a pris. Il facilite grandement la mise en place, en réservant pour chaque type de carte un emplacement parfaitement identifié, dimensionné et accessible. Il ne sert pas à grand chose en jeu (sauf pour la banque, et servir quelques tokens, peut-être), mais les éléments disposés autour du plateau de jeu une fois la partie mise en place renforcent le thème. Joli.
Bref, jeu + insert, la seule deluxification qui manque à mes yeux, c’est l’ambiance sonore (à laquelle j’ai remédié grâce à Spotify - à l’heure où j’écris, la playlist melodice pour le jeu ressemble juste à une grosse blague potache 
- inexploitable).
La partie de la honte …
Normalement, c’est là que les plus hardcore gamers d’entre vous vont copieusement se payer ma tête … si, si, je vous assure.
Avec mon bug cérébral sur l’iconographie et mes retours aux règles, ma première partie solo m’aura pris pas moins de … 4h en deux sessions de 2h.
Oui, je sais, c’est ridicule, et je pense que la prochaine ne dépassera pas l’heure et demi, mais cette première partie m’aura fait exploser tous mes records de lenteur … même si je ne l’ai pas vue passer du tout tant j’ai aimé ce moment…
Autre élément amusant, en général, ma première partie solo sur un jeu un peu complexe, je la fais en mode facile. Pour découvrir sans trop me frustrer. Et parce que j’ai la défaite facile.
Je suis donc parti sur une Sarah pas vénère pour deux sous (deck de l’automa épuré d’une bonne partie de ses cartes, notamment Sarah ne fait pas de navigation).
Et toute la partie, en voyant son deck tourner, retourner, et les cartes s’accumuler dans sa défausse de points de victoire, j’ai été persuadé que j’allais me faire broyer au moment du décompte final. Vraiment.
Jusqu’au décompte final en question, ou j’ai fini par … lui rouler dessus, littéralement … je crois que c’est la première fois que ça m’arrive (au point que je vais relire la règle pour voir si je n’ai pas mal joué certains points qui m’auraient avantagé).
Satisfaction d’une victoire pour une première partie, donc, mais … doute sur « où est-ce que j’ai triché sans m’en apercevoir ? » (j’ai notamment un énorme doute sur ses règles de pose de bâtiments de l’automa … seul point sur lequel je trouve la règle du jeu très - très - mal fichue).
Bref, la prochaine partie solo se fera sur un cran de difficulté supérieur.
Par contre, compte tenu de la richesse du jeu, la courbe d’apprentissage est énorme, et je n’ose pas imaginer ce que pourrait donner une partie face à des joueurs qui auraient écumé le jeu. Boucherie assurée, à n’en pas douter.
Au final … l’attente en valait la peine
Ca faisait des mois que je tergiversais sur « quel GWT acheter », « est-ce que je me lance ou pas », jusqu’à ce que je craque.
Et c’est sans aucun regret. Après une première partie, je sais que j’y reviendrai, en solo, bien entendu, mais je sais aussi que je voudrai le jouer en multi (faudra juste trouver les joueurs).
Mes petits problèmes d’intégration des règles sont bien peu de choses par rapport au plaisir ressenti en jeu (et encore une fois, la règle n’est pas en cause, c’est vraiment je pense un bug de mon cerveau sur l’icono - et sa taille sur les éléments de jeu). Le jeu est riche, varié, beau, jouissif quand tout fonctionne comme on veut, frustrant comme il faut quand le hasard est contre vous (ou que Sarah vous surprend), mais fondamentalement, tout semble maîtrisable, mitigeable, si tant est qu’on arrive à choisir entre les options offertes.
Le jeu est d’une telle richesse que je n’arrive même pas à imaginer comment une mécanique aussi fournie peut être équilibrée (Pfister serait-il un extra terrestre?), mais j’adhère à 200% au résultat : du plaisir ludique à l’état pur (au son des moutons).
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ma 1ere et ma 3eme partie de GWT, en solo, ont aussi duré 4h. (la 2ème 2h30)
Les 7 suivantes entre 1h15 et 2h.
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On ne le trouve que sur le site e Raptor, c’est ça ?
Haha copain 
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Aucune idée …
T’imagines même pas comme tu me rassures
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C’est un bon p’tit jeu fourmillant de bonnes idées avec des illustrations réussies et pleines d’humour. La méchanique est bien pensée et en effet il prend toute sa saveur à plusieurs… Ou comment se faire piquer sous le nez la mission pour laquelle on se préparait.
Jeu reposant pour un bon break entre deux jeux plus « lourds ».
M’intrigue bien celui-là. Impatient de lire un retour dessus.
Too many bones
J’ai tellement entendu parler de ce jeu mais la taille du plateau de combat et le design à tendance Arthur et les minimoys m’ont retardés l’achat pendant très longtemps.
Mais je recherchais un jeu de combat tactique après avoir revendu Stars of Akarios, Tales from red dragon inn et Adventure tactics, j’ai finalement fini par plonger avec une VO pas trop chère.
J’ai joué 9 parties pour le moment uniquement avec Patches (Sparadoc) car c’est apparemment celui-ci qui est conseillé pour débuter.
Le matériel est très bon évidemment même s’il n’y a aucun compteur d’avancement fourni étant donné que je ne possède pas le tapis d’aventure.
Je pense qu’il s’agit d’une première version, cependant il y a bien le petit caillou translucide.
Les règles de base sont relativement simples mais il faut clairement jouer beaucoup avec chaque personnage pour les maîtriser et faire plusieurs parties pour connaître tous les mots-clés.
Le hasard est présent même si l’on a tout de même l’impression de contrôler pas mal de choses.
Sauf parfois où il n’y a juste rien à faire comme par exemple un début de combat où tu prends 6 dégâts d’un coup alors que tu n’as pas encore commencé à jouer.
Cependant, ça me semble très rare (enfin, ça m’est arrivé deux fois mais dans le même cas de figure).
J’ai commandé le tapis d’aventure chez LDG mais aucune nouvelle depuis la commande passée lundi.
Dans les jeux de combat tactique auxquels j’ai joué ces 7 derniers mois, Too many bones n’est pas celui que je préfère au niveau tactique, en effet c’est Stars of Akarios qui est en tête mais il est parti vers d’autres cieux car la campagne dure une éternité et pas moyen de faire une partie de temps en temps.
De même que Tales from the red dragon inn, que j’ai trouvé vraiment bon mais trop long pour jouer une campagne en solo et pas moyen de faire du One shot.
Adventure tactics était sympa mais celui-là je l’ai terminé (bien plus court que les deux autres) et c’est la montée des personnages qui était très chouette.
Possibilité de One shot mais pas vraiment eu envie.
Too many bones est donc en deuxième position niveau combat tactique mais le fait qu’il n’y ait pas de campagne, la montée en puissance des personnages que je trouve très très chouette et la richesse du jeu font que le jeu va très certainement resté longtemps à la maison.
C’était un coup de poker (c’est le cas de le dire) et banco (ou banqueroute pour le porte monnaie).
Petite photo après le premier jour:
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dungeons of infinity
Encore un jeu (avec le précédent entre autres )qui fait parti des jeux qui ont été achetés pour remplacer un jeu vendu, le piège de trop vendre, je perds des mécaniques et/ou des types de gameplay…et du coup crack achat (mais toujours le principe de sortir plus de boîtes que celles qui rentrent et faire rentrer plus d’argent que d’en sortir, là dessus, c’est très positif).
Celui-là a été pris car je cherchais depuis bien 2 ans, un Dungeon crawler assez facile à sortir.
Jai tenté Tiny Epic dungeons mais ça a fait pschitt.
Pour le moment, 3 parties, il remplit son rôle.
C’est plutôt simple d’accès, les combats assez rapides mais les stratégies viendront du fait de choisir quel personnage va attaquer et avec quelle aptitude.
Les différents pouvoirs hors combats des personnages peuvent être sympa, il y a du loot, on peut faire certaines actions originales comme placer une corde pour traverser un gouffre par exemple et même la couper.
Il s’agit d’un système à point d’actions et en général j’aime bien, et ça fonctionne.
Il y a quelques scénarios One shot, deux mini campagnes et une énorme histoire, bref , il y a de quoi faire, notamment avec les 12 personnages et toutes les cartes rencontres/loot.
À part des combats simples (pas de grille, j’aime bien les grilles) mais je savais à quoi m’attendre, je n’ai pas vraiment de reproches à faire au jeu.
Ce n’est certes pas le DC du siècle mais il répond à ma recherche, encore plus au prix où je l’ai payé(41€ fdpin) je trouve (c’est évidemment une V1).
Petite photo (j’ai, depuis, récupérer une zacabox, qui décidément m’auront été bien utiles dans ce genre de jeux).
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Peux-tu nous dire pourquoi ?
C’est au moment de l’ouverture de la boîte 
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Difficile à dire car mes 2 et même Nos 3 premières parties étaient plutôt agréables (le côté multijoueurs probablement, en solo ça n’a pas fonctionné)mais je dirais que je n’ai ressenti aucun sentiment d’exploration de donjon alors que l’on explore bien un donjon mais je trouve le jeu trop froid et le côté aventure en prend un coup.
Peut-être la DA qui m’a bloquée.
Le jeu ne m’a procuré aucune sensation et en solo il faut que le jeu soit hyper fun ou que les mécaniques m’accrochent ou bien alors qu’il dégage quelque chose, une ambiance quoi et là, nada.
Je possédais il y a très longtemps Tiny Epic Galaxy et pareil, prout (désolé pour le vocabulaire mais je suis aux toilettes), et je l’ai vendu, l’un de mes premiers jeux vendus si ce n’est le premier.
Je crois que ce sont les deux meilleurs Tiny Epic, c’est donc terminé pour ma part, je ne tenterai plus.
De l’autre côté, Dungeons of infinity est également simple d’accès mais il se dégage quelque chose, je ne m’ennuie pas.
D’ailleurs ça me fait penser que j’ai fait un top 50 des jeux solo (certains jeux que j’ai énormément aimé et qui mériterait de se trouver dans ce top n’y sont pas car je voulais faire apparaitre seulement les jeux encore en ma possession, c’est notamment le cas de Stars of Akarios ou Oltrėe par exemple).
Faudra que je le poste dans le sujet dédié.
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Au cas où, si tu arrives à trouver Undertow à bon prix, je trouve les personnages plus sympa à jouer en solo (et le « tapis plateau » est plus dynamique avec la partie radeau qui évolue, tout comme la suite avec la lave).
Dans le jeu de base, on sent que certains héros sont davantage prévus pour jouer à 2 personnages qu’un seul.
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Ah, enfin, ton top 50, il était temps !
Pour ma part, je suis très hésitant entre Dungeon Universalis, Dungeons of Infinity, Dungeon Crusade et League of Dungeoneers. Je cherche celui qui est le mieux adapté pour du solo et surtout celui qui privilégie l’exploration et la narration aux escarmouches et aux combats tactiques.
(et si tu te lasses de Dungeons of Infinity, fais-moi signe !)
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HS/
Je vois pas mal de messages similaires depuis la VF de LDG sur Undertow et j’ai un avis complètement contraire.
Je trouve que Boomer, Tantrum et Picket sont tellement plus funs à jouer que Duster par exemple. Chacun avec ses pros / cons bien sur mais j’ai pas le même feeling sur les deux persos d’UT.
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Merci. Je l’ai en fait, et après quelques parties je n’ai en effet pas beaucoup eu envie de le ressortir. Je lui redonnerai une chance pis ensuite on verra.
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J’avais découvert TMB avec Undertow, c’est peut-être pour ça que j’ai une préférence pour ces personnages alors.
Sur le jeu de base, je trouvais qu’il y en a un plus spécialisé pour cogner, l’autre davantage pour soigner etc… et que ça se prêtait donc moins à du pur solo. Mais j’ai moins joué avec eux aussi et tu me donnes envie de leur redonner leur chance. 
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Pas que, il existe un automa plutôt stimulant qui évite par exemple de laisser s’accumuler des ressources sur une case pour se goinfrer après.
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