Info lue à l’instant sur le site gusandco annonçant la mise en liquidation : https://gusandco.net/2023/03/03/inside-the-box-jeux-editeur-faillite-fermeture/
Décidément, en ce moment, ça tombe sévère 
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Celui-ci aussi on l’avait vu venir. Notamment parce que ca fait des mois qu’ils ne repondent plus a leurs partenaires et que c’est nuts qui a du finaliser le jeu pour sortir Sub Terra 2 dans sa VF.
Hé bé. Ça rassure pas sur les grosses campagnes ça. Aller hop, retour aux sources : Petits projets, petits créateurs, potentielles petites perles et au pire petites pertes.
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Y’en a d’autres que tu -ou vous- vois venir ? Ça mériterait un topic non ?
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En liquidation, mais a été racheté par quelqu’un. Donc l’équipe est finie mais leurs licenses devraient continuer de tourner.
En tout cas l’élagage continue.
Maintenant qu’on m’a mis le doute à propos des articles de Gus, je trouve que celui-ci est vraiment écrit bizarrement.
Répétitions peu élégantes, termes surprenants, oui, ça ressemble à une traduction ce truc 
Edit : c’est pas du mot à mot mais on pourrait parler de réécriture,
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@NaHO mode HS on : J’adore ton avatar et j’ai vraiment kiffé Radlands au FIJ… Je me suis même laissé aller à commander la version super deluxe sur le site des Lucky Ducks (après avoir hésité comme un âne à le prendre sur le salon)…
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Totalement HS, mais c’est dommage car je trouve leurs analyses, critiques de jeux souvent très pertinentes. Enfin trouvait car j’en lis de moins en moins
L’original
former Inside the Box employees hijacked the company’s Kickstarter account to publicly accuse CEO Peter Blenkharn of failing to pay staff missing wages, pensions and redundancy
La traduction via deepl/google translate de Gus & paresseux
Et juste après, d’anciens employés de Inside the Box Board Games ont aussitôt réagi et on « hacké » le compte Kickstarter accuser publiquement le PDG Peter Blenkharn de ne pas avoir remboursé les salaires et les indemnités de licenciement.
Les fautes de français, c’est probablement Gus qui a relu et corrigé 
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Ça commence là :
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Non le retour au source, c’est aller en boutique acheter un jeu de chez Asmodée ou Matagot :-p
Je ne connais pas le monde de l’édition depuis longtemps, mais dans tous les secteurs économiques, il y a des créations et des fermetures d’entreprises. Ça ne me choque pas, même si c’est toujours douloureux de voir fermer les portes d’un éditeur avec lequel le public entretient une relation sentimentale particulière… Était-ce différent avant ?
Ce qui est plus symptomatique je trouve, c’est que pas mal de ces sociétés qui font faillite sont des société qui ont recours au financement participatif. Est-ce qu’elles sont en difficulté parcequ’elles ont recours au financement participatif, ou est-ce qu’elles ont recours au financement participatif parcequ’elles sont en difficulté ?
Après, l’édition de JdS est une industrie difficile, dans laquelle un développement peut durer plusieurs années. Et pour des petits / moyens éditeurs, un seul ratage peut mettre l’entreprise en péril…
Ce qui est fou, c’est de se dire qu’elles font faillite en faisant du financement participatif, alors qu’ils sont sensés gagner plus d’argent de cettz manière non ?
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Je ne pense pas qu’il y en ait plus.
Elles sont généralement juste plus visible. Celle-ci, par exemple, ça fait au moins deux ans qu’on la voit sombrer. Alors qu’il n’y a pas si longtemps, c’est limite si on ne découvrait pas deux ans après que l’éditeur n’existait plus.
Et elles ont aussi un impact direct, avec des gens pas livrés de ce qu’ils ont payé. Ici, c’est léger et en plus indolore pour les français car Nuts a certainement donné de sa personne pour sauver la VF du naufrage. Mais un Grail Games qui se vautre dans la foulée d’un KS loupé, ça fait des dégâts. Et, forcément, face à celui de Mythic Games, pour l’instant la plupart font l’autruche (mais vu les centaines ou milliers de $ sur lesquels beaucoup devront faire une croix, ça fera un foutu vacarme).
Est-ce qu’il y en a plus ? Probablement pas et tous ceux là sont clairement dans le collimateur depuis un bon moment tant il y avait d’éléments inquiétants dans leur façon de travailler. Il n’y a qu’à comparer avec les morts réelles ou cérébrales au sein de la galaxie Asmodee…
C’est le danger d’un système où les éditeurs sont payés avant d’avoir produit. La plupart s’en sortent très bien, certains sont visiblement bien moins armés pour travailler ainsi…
Ils sont sensé gagner plus ou le KS permet juste de rendre certains type de jeu viable ?
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Attention, c’est Holy Grail Games (parce que Grail Games, c’est un autre éditeur)
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L’a plupart des éditeurs gagnent peu d’argent avec le financement participatif : le coût de la préprod (les visuels, le travail sur les règles -tests, équilibrage, rédaction, mise en page…-, les moules quand figurines il y a, les tests en public durant les salons…), la marge de KS, le coût de la campagne (en interne ou via une société spécialisée), la production, l’envoi, le SAV (le temps de dingue que cela prend de répondre aux contribs qui n’ont pas pris le temps de lire les news, pas changé leur adresse postale, pas répondu au PM…), plus dernièrement des hausses de folie pour les matières premières, les coûts de production, des transports… tout cela rogne méchamment sur la somme récoltée.
En financement participatif, l’éditeur vous raconte une histoire tout au long de la campagne. Imaginons qu’il vous faille 100 000 euros pour rendre viable votre projet. Vous allez mettre un objectif à 20 000 pour financer votre projet. Parce que cela attirera plus de monde au départ et vous rapprochera plus vite de votre seuil de rentabilité. Pis, « Financé à 800 % » ça en jette ! Alors que « Financé à 101.5% », pas trop.
Si vous mettez votre vrai objectif, cela risque de décourager du monde, et de plomber votre campagne parce qu’elle met du temps à décoller. Pis « Financé en 6h », ça en jette ! Alors que « Financé au bout de 17 jours », pas trop.
Bref. Je m’égare.
En revanche, le financement participatif offre à l’éditeur une trésorerie pour mener à bien son projet. Ou comme dit dans un autre commentaire, cela permet de rendre viable des projets qui n’auraient aucune chance de voir le jour via le circuit traditionnel.
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Je dirais même plus, moi je pense qu’elles existent grâce au financement participatif.
Je veux publier un jeu ? Je crèe « patman Inc. », ma boîte d’édition, je fais mon jeu, je monte ma campagne KS et en avant Guingamp !
Là où « avant » j’aurais fait le tour des éditeurs déjç installés avec mon proto sous le bras, parce que c’était la seule solution, ou quasi.
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