bin non, t’as pas le droit, faut que tu fasses une thérapie d’abord.
Ok, je t’entends déjà, tu as écrit juste après
Mais tu vois, le gars qui s’autorise un scenar d’heroic fantasy et qui, pas de bol, se retrouve devant la cousine d’Aragog, lui n’avait pas le droit de jouer ?
Et si dans ton jdr dans un U-boat, la situation devient vraiment oppressante. Tu fais quoi. Car ok, tu es claustro à mort, mais à partir de quelle taille de pièce ? quelle quantité d’air ? combien de personne collées à toi ?
Dans les phobies, l’évocation est très souvent suffisante pour déclencher des accès de panique. Quitter la table ne me semble pas exagéré. A minima se retrouver extremement mal a l’aise.
Concernant l’exemple des araignées, j’ai moi-même dit ça :
Perso, les araignées, même les vraies grosses irl ne me gênent pas. Mon fils, avant de pouvoir sortir cette phrase, lui, aurait probablement quitté la table.
Mais comme l’a dit je sais plus qui plus haut, il y a divers degrés : de ‹ simples › phobies aux traumas bien plus galères à vivre.
Et du coup, quand tu ramenes un truc genre ‹ ne parlons pas de viol, s › il vous plaît merci ’ à ‹ j’aime pas le pudding, n’en parlons pas s’il vous plaît › c’est méprisant.
[edit : en fait tu as dit ne parlons QUE de pudding (froid), d’ailleurs. mais je pense pas que ça change grand chose]
Et aussi, toutes mes excuses, car j’avais amalgamé ton post à celui de @merlinpinpin un peu plus tôt (
Le "Consent in Gaming" dans le jdr (ou "The X-Card : Aux Frontières du JDR") - #63 par merlinpinpin) et ça commencait à faire beaucoup (trop, pour une seule personne)
Pour le reste, l’utilité de la xcard, des questionnaire etc, je suis plutôt de ton avis - bien qu’un peu partagé malgré tout. (et surtout assez sidéré qu’on en arrive à ce genre de trucs)
Pareil pour d’autres points que tu évoques, comme la surenchère et la direction que ça prend notamment.
Bref, bisou.