Ca reste des estimations, mais je trouve ce simulateur de l’ADEME (l’agence gouvernementale de l’environnement) assez instructif sur nos propres consommations.
Et voir où sont les endroits où l’on pourrait faire mieux.
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Pour l’avoir déjà fait, j’étais à 6T…
Mais arrivée à 2T je ne vois pas comment faire sauf à tout arrêter…
Deja, tu commences avec une base de 1.7T à cause des institutions et entreprises.
Mais plus que le chiffre, c’est aussi le moyen d’agir individuellement.
Oui c’est bien pour ca qu’atteindre 2T c’est chaud ^^
Bon sinon le bilan c’était surtout qu’il fallait que j’arrête la viande…Mais pas tout de suite les jeux 
Exemple : quand mon gamin s’énerve suite a une de mes demandes et m’agresse verbalement, je ne valide pas la méthode mais ca me fait réfléchir à ce que j’ai dit.
Je ne dis pas qu’il faut agresser ou l’instituer comme méthode, je dis que l’agression n’est pas forcement contre-productive car elle reflète l’importance d’une tension et qu’elle peut donc mener à s’interroger.
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Je ne suis pas forcement convaincu, mais pourquoi pas ^^
Mais quand on parle de consommation de viande, on parle de quoi au juste?
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Réduire sa consommation de viande, c’est, je trouve, le facteur le plus facile sur lequel jouer pour tout le monde. C’est à la fois très efficace pour réduire son empreinte environnementale et symboliquement, je trouve cela très fort car cela ne coûte rien, au contraire, c’est bon pour la santé et ce n’est qu’un choix à faire.
Individuellement, selon le GIEC, c’est un facteur majeur.
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HS mais je peux pas laisser passer ça donc : NON
Si c’était qu’une question de volonté, y’aurait un paquet d’alcooliques, de tabagiques et de boulimiques hyperphages en moins.
Et les services d’addicto seraient vides.
J’aimerais bien… 
Tout un tas de mécanismes neurobiologiques, psychologiques et sociaux se mettent en place pour « verrouiller » un comportement. Malgré la bonne volonté des gens. Sinon, en addicto, la prise en charge consisterait à dire aux gens « allez quoi, merde, faites un effort ». Spoiler : c’est pas ça.
Impulser des changements comportementaux durables, dès lors qu’ils coûtent au sujet, c’est très difficile. Pas impossible. Mais balancer aux gens que « c’est juste un effort de volonté » c’est en fait leur envoyer le signal que ce sont des bons à rien qui font pas d’effort. Ça aggrave en général leur mal-être et ça suscite de la réactance en retour (le renforcement du comportement qu’on voulait combattre, comme solution en raccourci de lutte contre la dissonance cognitive « t’façon c’est des cons je fais ce que je veux épicétou »).
Fin du HS, déso.
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donc le concept même de moto et de motards est bon à jeter, juste parce qu’une minorité de kékés perturbe ta quiétude ?
Le problème n’étant donc pas « la moto », mais un sous-ensemble de ses pratiquants (dont la majorité des motards ne cautionne pas non plus le comportement, hein, et je suis le premier à maudire les pseudo Rossi qui confondent route et circuit et qui considèrent la moto comme un signe extérieur de je-ne-sais-quoi à exhiber de la manière la plus ostentatoire possible).
Enfin bref, c’est juste un cliché de plus (à peu près aussi pertinent que « les arabes sont des voleurs »).
Mais si tu veux changer d’avis, je peux te présenter des pelletées de motards infiniment plus respectueux de l’environnement et du vivre ensemble / des autres que probablement la majorité des individus non motards que je croise tous les jours sur le parvis de La Défense. Je dirais même que la majorité des motards que je connais ont sans doute des valeurs humaines bien supérieures à la moyenne de leurs concitoyens (et je parle pas de « solidarité motarde », mais bien de l’attention et de la considération portés à toute personne, qu’elle roule ou pas en deux roues motorisé).
bon, j’exclus de la notion de « personnes » une bonne majorité des conducteurs de scooters, mais je leur garde le respect dû aux animaux, quand même, je suis pas un sauvage non plus 
les sports mécaniques évoluent (et contribuent à faire évoluer le transport). La compétition stimule l’innovation, et ça finit toujours par avoir des retombées dans le quotidien. Pour la sécurité, la sobriété / l’efficacité énergétique, etc… Et si vous pensez que supprimer les 24h du Mans sauvera la planète, vous vous trompez sans doute de combat. Et si c’est juste pour « envoyer un signal », je suis pas convaincu que ce soit le bon.
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Quand j’ai décidé d’acheter moins de jeu, j’ai acheté moins de jeu. Pour le tabac, cela a été bien plus compliqué d’arrêter.
J’aime bien ta référence à la dissonance cognitive : pour moi, consommer autant de jeux ou fumer, c’était dissonant avec ce que je pensais et ça m’a aidé à stopper… pas à m’inventer des excuses.
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Si tu crois que le problème principal des alcooliques c’est qu’ils « s’inventent des excuses » pour continuer leur comportement à risque, tu fais fausse route et tu participes à la stigmatisation des victimes d’addictions, quelles qu’elles soient.
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Alors excuse moi mais je maintiens : si au fond de toi tu sais qu’acheter du kiloplastique c’est mal, et que tu prends la résolution d’arrêter, c’est qu’une question de volonté.
[Début du HS]
Pour la clope et les addictions en général, il peut y avoir besoin d’un soutien médical/psychologique/social, plus ou moins important en fonction du cas. Ce n’est pas toujours le cas. Par contre, il y a toujours besoin d’une volonté forte de la personne sous addiction.
[Fin du HS]
Je ne répondais qu’au tabac et à la bouffe.
En dehors du cas hypothétique d’un authentique addict aux jeux, évidemment que ça ne s’applique pas aux joueurs de jds hein.
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Justement, le problème étant le véhicule individuel, les sports mécaniques ne font qu’entretenir quelque chose qui n’est plus soutenable. Comment organiser la société sans ça, c’est une autre question mais je n’irai pas féliciter les sports mécaniques pour leur désastreuse contribution. 
Ah non, supprimer les 24h du Mans ne sauvera pas la planète. Par contre, maintenir cet événement va contribuer à la pourrir à rendre la vie des milliards de personnes invivables. La question n’étant pas de savoir si c’est le pire événement d’un point de vue écologique (et pourtant c’est catastrophique si tu prends en compte les prépas, entrainements, produits dérivés, voyages, logistique…) : la question est de reconnaître que ça ne fait plus sens de faire mumuse autour d’un circuit pour le plaisir quand on voit la gueule des données climatiques aujourd’hui.
Si le bon signal, c’est de dire « ouais bon c’est pas terrible mais regardez ces gros porcs de yankees et ces teubés de chinois qui pourrissent tout là, alors que nous, au milieu, on a juste envie de faire un peu la fête tranquillement », je suis encore moins convaincu.
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Faut jouer à Thunder Alley ou à Heat.
Ça pollue moins. (Je connais pas de bon jeu avec des motos, m’enfin tout ça c’est des sports mécaniques).
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Pas pour les poubelles jaunes : ce n’est pas obligatoire. Ni pour les casques au ski utilisés par 95% des skieurs maintenant.
Concernant les « préférences », il me semble que c’est une notion économique utilisée justement pour représenter les effets de groupe / mode / pression sociale…
Petite question rapide, vu que vous avez l’air de vous y connaître un peu : les voitures électriques, bien ou pas bien alors ?
Il me semblait avoir lu que le problème c’était les batteries ?
Alors si en l’occurrence, pour les ménages, c’est le 1er janvier 2024 :
C’est pour ça qu’il y a un gros rattrapage de certaines communes très en retard en ce moment.
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Justement, sur le questionnaire de l’ADEME, c’était très intéressant, il me conseillaient de ne pas en prendre pour mon profil (télétravail + train pour me rendre au boulot, la voiture ne servant que pour les vacances).
Aujourd’hui, j’ai l’impression que c’est surtout rentable pour les « fameux trajets du quotidien ». Peu de km, mais assez régulièrement.
Ce n’est ni ce que je crois, ni ce que je dis.