Politique [sujet non modéré, Cwowd et ses modérateurs ne sauraient être tenus pour responsables de ce qui s'écrit ici]

"ramenez Macron à la maison ! Allez les gueux allez ! "^^

Faut peut-être aussi remettre en perspective le premier graphique de ta source.

Car si l’assurance était autant déficitaire en 2020, c’est parce que y a eu une épidémie et que pour y répondre l’État a versé en masse du chômage partiel. Sans contexte le graphique peut s’avérer trompeur.

1 « J'aime »

(message supprimé par son auteur)

1 « J'aime »

C’est vrai que la crise Covid a fortement dégradé les comptes de l’Unedic (c’est elle qui porte la dette de l’assurance chômage, France Travail étant l’opérateur en charge de sa mise en oeuvre et de son paiement). De l’ordre de 18 milliards d’euros.

Mais l’assurance chômage était déjà lourdement endettée avant la Covid.
50,8 - 18,4 = 32,2 milliards d’euros.

Ce n’est pas la crise Covid qui en est à l’origine. C’est un choix de société, car cette dette :

  • c’est du revenu que les chômeurs indemnisés peuvent dépenser,
  • participe du financement de la politique publique de l’emploi à travers France Travail (l’Unedic est le principal financeur de ce dernier avec l’Etat, pas seulement pour la petit relative au versement des allocations chômage),
  • c’est une dette de l’Etat car ce dernier la garantie, même si elle n’est pas forcément (à vérifier toutefois) dans les comptes de l’Etat directement.

(…) « Les dernières prévisions financières du régime d’assurance chômage ont été adoptées lors du Bureau du 20 octobre. Dans un contexte encore incertain, le solde financier positif prévu sur la période 2022-2024 permettrait d’accélérer le désendettement du régime. Sa dette s’élèverait ainsi à 50,8 Md€ fin 2024, dont 18,4 Md€ liés à l’engagement de l’Assurance chômage lors de la crise Covid-19. » (…)
Source

(message supprimé par son auteur)

Le plus gros risque c’est que tu vas avoir une hausse énorme des taux, donc tu vas augmenter la charge de la dette future.

1 « J'aime »

Pour Sylvain Maillard, être sans emploie ou sans logement, c’est un choix.

En écho à son interview sur France Info sur la réforme chômage, les auditeurs ont remarqué dans sa dialectique des similitudes avec des propos qu’il avait tenu sur le mal-logement.

2 « J'aime »

C’est une calamité de mauvaise foi.
Même avec les chiffres devant la tronche, rien à faire.

1 « J'aime »

Bah, il ne ment pas, c’est la « réalité qui lui a donné tort ».
C’est marrant d’ailleurs quand on voit que ce gouvernement a souvent Fake news et complotisme à la bouche. Aucun des prédécesseurs n’a autant raconté n’importe quoi, et pourtant avec Sarko et ses séides il y avait du niveau.

11 « J'aime »

Je doute que les précédentes générations de politique aient été plus intègres. On avait juste moins accès aux sources pour les démentir.

Puis on les entendaient surtout moins souvent (comme dirait l’autre: mieux vaut rien dire et passer pour un con, que de l’ouvrir et ne laisser aucun doute).

5 « J'aime »

Ils ne contractent pas avec la vérité.

3 « J'aime »

Effectivement, il y sûrement de ça. Faut admettre que c’était moins crispant aussi, quand on voit la manière actuelle d’être ouvertement pris pour des cons.

« Qu’a t’elle fait pour se retrouver au SMIC, a-t-elle bien travaillée à l’école ou suivie des études ? »
« Et si on est au SMIC, faut peut être pas divorcer dans ces cas là »

Une femme seule, au SMIC, mère de deux enfants, s’est adressée à Emmanuel Macron lors de sa venue à Rouen, sur sa situation personnelle, faisant part de sa détresse. L’extrait vidéo a été repris par les médias et la femme en question a été humiliée sur LCI par Julie Graziani, chroniqueuse : « Fallait pas divorcer ! », a-t-elle affirmé.

3 « J'aime »

Depuis la grosse vague du stand up début 2000 le niveau est devenu vraiment dingue. Par contre je n’ai pas compris le changement de nom du Djamel comedy club en LCI?

3 « J'aime »

C’était pas la première fois qu’elle sortait des trucs douteux :

Elle doit avoir une carte illimitée :sweat_smile:

1 « J'aime »

Ma femme me signale que ça date tout ça.

[Sous entendu : a t elle sorti une nouvelle perle ?]

1 « J'aime »

A une époque où l’économie circulaire, la limitation de consommation de ressource, la seconde main et le re-use sont des enjeux essentiels, ce genre de mesure pour faire plaisir aux éditeurs est une aberration sans nom.

6 « J'aime »

Ce gouvernement (mais d’autres avant également …) n’est fort que pour taxer encore et encore le pays …

Sur cette taxe sur les livres :

  • C’est un serpent de mer de longue date, régulièrement demandé par les éditeurs (sachant que la taxe serait sans doute répartie entre « éditeurs » et « impots »)
  • C’est très difficile à mettre en place (et encore plus « de manière égalitaire pour tous les acteurs ») : sans doute que les grosses plateformes (AMAZON Marketplace, Momox, FNAC, …) seront prélevées automatiquement (avec des prix augmentés en conséquence), p-e du déclaratif ensuite dans certains cas (bouquinistes vendant un marché aux puces …), et tout un ensemble de transaction seront forcément sous le radar (entre particuliers de la main à la main, etc.) - du coup çà semble très délicat, encore une fois, niveau équité de traitement (mais ce gouvernement ne sera sans doute pas à çà près)
  • La justification réelle semble plus que discutable : l’objet livre a bel et bien déjà été payé lors de l’achat initial, à quel titre une taxe serait-elle appliquée lors de la revente ? Quid du prêt ? Quid du don ? (qui engendrent le même « non-achat d’un nouveau livre neuf »)
  • C’est la boîte de Pandore, si çà se met en place sur les reventes d’occasion de livres, pourquoi pas sur tout le reste ? Pourquoi pas sur les vêtements, sur les voitures ? (certains en rêvent sans doute …)
1 « J'aime »

(pour discuter, je trouve aussi cette nouvelle taxe inepte)

Dans un monde qui s’apprête à basculer de la surconsommation à la réutilisation, transmission etc., il est naturel que les Etats pensent à de nouveaux moyens d’assurer leur fonctionnement / croissance (j’ai dit naturel, pas juste ou bien). En particulier quand ces nouveaux outils ont un effet potentiel ralentisseur sur un changement qui ne leur convient pas particulièrement / les met en danger.

Peu importe que ce soit absurde ou nuise à tous à long terme.

3 « J'aime »