Hoho ho, moi aussi j’ai mon jeu fantasy à jouer avec des mini-joueurs ( à partir de 6 ans).
:Test - Talisman : Récits Légendaires – Plateau Marmots
Nan restez, ce n’est pas Talisman tout court et c’est vachement bien (sisi, coopératif, simple à expliquer/jouer et à mettre en place et rapide : 30 min la partie! ) Là c’est pour des enfants et c’est pas un jeu de l’oie.
Bon @froh j’ai le plaisir de t’indiquer que ce jeu matagot est très peu présent sur le web francophone et que la personne qui en parle le mieux c’est… Tom Vassel…si si véridique 
Dommage car il gagne à être connu. (Le jeu, pas le monsieur avec des chapeaux)
Au final les premières 2 aventures terminées et la première avec un échec a donc du être jouée 2 fois. (Mais changement de joueurs, nombre de participants et persos entre temps, on y reviendra tout de suite, juste là, apres, maintenant). Pas de problématique sur le fait de rejouer la quête…il y a de l’aléatoire et le fait de rebooter la team offre tout de suite une nouvelle configuration à la partie.
On a joué de 2 à 5 joueurs (partie initiée à 5 avec echec, 2eme session commencée à 2 pour être complétée en cours de parcours à 4 puis à 5 ! ). Niveau temps ça n’a pas vraiment d’impact vu que l’on se partage un certain nombre de temps qui passe. On joue un chouia moins à plusieurs , mais vu que les tours sont ultra rapides et qu’il y a du coop et de la petite interaction , c’est vraiment du velours.
La cible (2 filles de 7 et 9 ans, connaissant la fantasy et un peu joueuses/ casu moderne : « catan style ») était trop grande pour du karak, pas assez « studieuse » pour se farcir du andor junior qui avait l’air un peu longuet et moyennement epique, là c’était parfait. Au final 3 adultes et 2 enfants ont touché la bête .
Très content de l’avoir offert et d’y avoir joué . Attention ce n’est pas fait pour y jouer entre adultes, mais tous les adultes ont pris du plaisir !
On a pas eu l’occasion de pousser le curseur roleplay/musique d’ambiance mais ça aurait donné un belle dimension au jeu.
Kids approved comme dirait l’autre
