On l’a fait avec mon fils des millions de fois quand il avait 3 ans.
Il a presque 6 ans, et c’est vrai que je le vois souvent jouer à faire des accidents avec des voitures. Je crois qu’il est foutu…
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Comme indiqué par les deux réponses précédentes, y voir de l’incitation à la violence gratuite c’est tout de même chercher à voir le mal partout. D’autant plus que dans le même tome (la course) on incite aussi à aller sauver la jeune demoiselle en détresse (mais c’est peut-être sexiste du coup 
).
Plus sérieusement, comme indiqué le ton est plus déjanté (Un peu en mode les fou du volant), sans message sous-jacent comme on peut avoir sur certains (terre d’ocre par ex).
Mon fils de 9 ans lorgnant sur mon plateau Tainted Grail quand le sors pour jouer avec mon beau-frère, je cherchais un jeu narratif en campagne adapté à son age.
J’ai jeté mon dévolu sur Histoire de peluches.
Nous avons fait les 2 premiers scenarios ce matin et c’est un succès.
Même en tant qu’adulte je trouve le jeu très agréable.
C’est mon premier jeu de Jerry Hawthorne qui a la réputation de faire des règles imbuvables, je ne sais pas si celui-ci fait exception, mais pour ma part je les trouves pas mal.
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Si tu acceptes de ne pas inventer de regles « parce que ca te paraît trop simple » ou « mais ca devrait etre un cas particulier » alors ses règles sont toutes très bien… faut juste pas chercher a inventer et se contenter d’appliquer ce qui est écrit
En gros 90% des questions auxquelles j’ai pu répondre sur Aftermath ici ou ailleurs c’était des gens qui inventaient des regles qui soit disant manquaient, alors qu’il fallait juste appliquer la règle qui existait, sans chercher à inventer un cas particulier… seul truc un peu chaud avec ses jeux c’est que le scénario (ou les regles de la page) cassent les règles de base quasi systématiquement sur des petits détails, faut pas oublier de les lire sinon des fois c’est la merde apres (c’est du vécu sur Aftermath ou on a raté un « point d’intérêt » qui ajoutait une règle qui permettait de débloquer le scénario
Comme dit @bigyo, la course des casse-tout est ni plus ni moins qu’une bonne partie de mario kart! Ca se chahute, ça se bouscule, et ça reste un livre pour enfant qui vise à faire rigoler avec des dessins un peu cartoonesques!
Personnellement, moi j’avais rigolé en voyant l’arbitre finir à la mer. Je m’imaginais bien ensuite le petit nuage façon mario kart qui venait le repêcher.
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Les adultes ont évidemment la référence « mario kart », mais j’ose espérer que les enfants de 3 à 5 ans n’ont pas cette référence.
Comme vous l’avez dit vous-mêmes on envoie quelqu’un dans le vide (dans la mer en contrebas de plusieurs dizaines de mètres) parce que « c’est rigolo », et en récompense on a un objet pour « attaquer » les autres (une fronde).
Clairement, ça peut sembler drôle et anodin d’un point de vue d’adulte, mais un enfant de 3 à 5 ans n’a pas forcément ce recul et peut prendre ça pour quelque chose de plus « réel » qu’une course « à la mario kart ».
Autre point qui n’est pas évoqué, c’est cette récompense… La leçon retenue par l’enfant est clairement : « mince, si je l’avais envoyé dans le vide, j’aurais eu un objet pour réussir l’aventure après ». Et nous savons ici que ces livres ont vocation à être lus et relus plusieurs fois (parfois plusieurs dizaines de fois). Les enfants retiennent clairement les « bons choix » (en tout cas mon petit s’en souvient).
Est-ce que c’est « très grave », non, clairement. Mais c’est pas forcément ce que je demande au livre et j’aurais préféré qu’il y ait pas ces élements dans le livre à destination d’enfants de 3 à 5 ans.
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Heureusement que nos gosses sont cons à pas retenir les bons choix ! Ouf ! 
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Peut être ton enfant de 3 à 5 ans n’est il pas seul devant son livre et saura faire la différence entre ce contexte particulier du livre et du jeu et la réalité.
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Je ne doute pas qu’il sache faire la différence du contexte, mais ça veut dire que dans un contexte similaire de jeu ou d’histoire interactive, ça l’inciterait à privilégier l’usage de la « violence ». Or, les pratiques ludiques que j’essaie de le faire expérimenter (via le JDR par exemple) vont justement dans l’autre sens.
C’est à la fois plus intéressant et plus complexe pour lui d’essayer de résoudre un conflit sans utiliser la violence.
Bref, je me doute bien que le faire jouer 10 fois à ce livre d’aventure n’en fera pas quelqu’un de violent, mais par utilisation répétée de la violence dans un contexte ludique, ça peut l’inciter à considérer cela en premier lieu. Et si je peux éviter de le faire voir les choses de cette façon, je vais m’efforcer de le faire.
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Je suis justement en train d’expliquer a mon fils qu’il y a quarante ans, pour les adultes, un dessin animé, s’était pour les enfants, et ils ne cherchaient pas a comprendre si ce que je regardais était adapté ou non. Et spoiler, si j’en crois les adultes d’aujourd’hui (qui se sont délectés sur ces programmes), apparemment, ils ne le sont pas.
J’imagine que c’est la même chose pour la plupart d’entre nous.
Faisons donc un sondage pour savoir combien parmi nous sont devenus des psychopathes sanguinaires.
Les valeurs, c’est a nous de les inculquer lors des premières années. D’où l’importance de les accompagner a travers nos/leurs questions.
Car passé un certain age, vous pourrez dire ce que vous voulez, ils n’ecouteront plus, voir feront le contraire durant leur quête de personnalité.
Et pire, j’ai l’impression que plus on essaie de les préserver de la « violence », plus elle les attire et les fait fantasmer.
C’est normal d’avoir peur pour leur avenir, mais pas au point de les empêcher de vivre leur vie.
Et on a beau dire, le meilleur moyen de savoir que le feu ça brûle, c’est d’y toucher. 
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Je suppose que tu es aussi gêné par celui avec le dragon, vu qu’on peut voler le cartographe.
Pour ceux qui souhaiteraient initier leurs enfants aux échecs je vous recommande chaudement l’histoire du roi des échecs de megableu.
C’est un jeu d’échecs avec des silhouettes en carton pour chaque personnage et surtout un livre illustré pour apprendre les règles.
Pour chaque pièce vous avez son histoire, en lien avec la façon dont elle se déplace, et des mini-jeux pour bien la maîtriser.
Le matériel est de bonne qualité et le livre est vraiment super bien foutu. Petit plus, si vous enlevez les silhouettes en carton et que vous retournez le plateau d’initiation vous avez un jeu d’échecs classique qui pourra être utilisé si votre enfant se lasse de la version plus enfantine.
Pour l’âge je dirais qu’à partir de trois ans les enfants peuvent s’y mettre grâce aux histoires. Et même avant ils peuvent s’amuser avec les pièces et le livre tant le tout est joli.
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Je viens de trouver cet article avec des photos et une vidéo à la fin pour voir à quoi ça ressemble :
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Bah dans la Quête du Dragon, le plus gênant c’est quand la grosse torgnole pour impressionner le dragon (et qui le fait pleurer de douleur).
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Oui, ça et l’accent « forcé » sur les Nains. C’est pas quelque chose d’intéressant de pousser un accent à la Michel Leeb… Encore pire si c’est pour inciter l’enfant à en rire.
On peut se défausser en disant « mais les nains, c’est dans le folklore du Medfan qu’ils sont comme ça… », « ça a toujours été comme ça… » mais c’est de moins en moins vrai (les nouvelles productions audiovisuelles ne le font plus par exemple), et ça ne rend pas ça moins problématique pour lutter contre les stéréotypes et la glottophobie.
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Je pense pas que ça soit si « grave » de pointer du doigt les éléments qui nous paraissent problématiques dans des livres pour enfants de 3 ans…
Il y a bien des pavés qui sont écrits pour des problèmes d’un mot qui leur convient pas dans la traduction d’un jeu de plateau.
Cela ne m’empêche pas de l’avoir dans la bibliothèque et de le lire de temps en temps, mais ça pourrait me convenir davantage s’il y avait plus d’attention portée sur le fait de faire correspondre le contenu et les choix au public visé (3 - 5 ans).
Donc oui, je dis ce que je pense des livres sur lesquels des avis sont demandés.
Je suis conscient que mon avis n’est pas majoritaire, et que pour la plupart des gens « c’est pas grave », « c’est qu’un livre »… Mais ce n’est pas forcément le cas de la personne qui demande un avis. Si dans mes propos et dans les exemples que je cite, il n’y a rien de choquant ou problématique pour la personne qui s’y intéresse, elle fera son choix en connaissance de cause.
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Pour l’anecdote, j’ai mis le plus jeune dessus cette semaine vu qu’il commence à lire correctement. Donc, je le lui ai lu-animé pour sa découverte. Et j’ai été surpris des choix : vol de la carte, coup de marteau… Et récompense dès le premier essai.
Là où son frère avait été bien plus gentil et contraint de recommencer plusieurs fois…
Ca ne m’avait pas gêné alors. Mais voir le contraste entre les choix des deux et la différence de récompense m’a laissé dubitatif…
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Merci pour l’illustration, j’écrivais dans le train et sur téléphone j’ai fais ça vite fait.
Il sera prêt pour la vraie vie
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