Octobre
Résumé
Mois de reprise avec un nouveau job, du coup, moins de temps et d’énergie pour jouer.
48 parties, 19 jeux joués, dont 6 découvertes
Découvertes
Trois nouveautés ramenées d’Essen qui m’ont toutes plues!
#Equilibrion
Essen signifie toujours de passer voir Shadi Torbey et de lui faire dédicacer ma boîte.
Equilibrion est une refonte de son tout premier jeu. Très hasardeux dans sa version de jadis, les extensions amènent du contrôle bienvenu.
#Kanal
Joué uniquement en solo. Il est rapide à installer, a des règles simples, une profondeur stratégique intéressante, pour des parties courtes (moins d’une heure).
C’est exactement les critères que je recherche pour le moment. J’avais envie d’un Rosenberg pour jouer en solo, depuis que j’avais vendu Nusfjord (quelle bêtise).
Des twists originaux avec la gestion de cette roue de ressources et des ces bâtiments qu’on ne pourra activer que 2 fois.
Un jeu sec, calculatoire et qui demande une bonne programmation.
#Flatiron
Le coup de cœur du mois. J’en dis plus en bas.
#Paleo
Depuis quelques temps sur ma liste d’envie, j’ai enfin mis la main sur une offre avec plusieurs extensions. C’est très malin et agréable. Mais je n’ai pas trouvé ça très fun…
Je me laisse encore un peu de temps avant de statuer sur son sort.
#Endeavor Deep Sea
On en parle partout. Je ne vais pas vous le représenter. C’est fluide, c’est tendu et ça combote. Les différentes missions changent vraiment les parties. Très bon!
#Naishi
Très chouette jeu de duel rapide. À approfondir, mais il a le potentiel pour se faire une place dans notre rotation régulière !
Coups de cœur du mois
#Flatiron
Avec ma femme, on aime les jeux de gestion qui ont un aspect de course (Viticulture, Istanbul,…). Quand j’ai entendu parler de celui-ci, je voulais absolument le chopper à Essen.
Il ne déçoit pas! On construit ensemble ce building mythique de Manhattan, et c’est la course constante pour construire avant l’autre.
Du placement d’ouvrier, de l’engine building, de la gestion de tempo, c’est du tout bon. On doit constamment regarder à ce que l’autre fait et anticiper.
C’est le même duo d’auteurs qui a fait Le Château Blanc. Ils sont doués. Du coup, il faudra que je me penche sur la Cathédrale Rouge des mêmes auteurs!