Je plussoie , ou mage knight j’en ai fait un avec mon fils de 2 ans l’autre jour pour l’apprentissage des règles. Il a adoré.
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Et il a même pas râlé car c’était pas la version Ultimate ? Wouha…tu as trop de chance…Il n’est pas consumériste et/ou matérialiste.
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Au contraire, les cartes de la version d’origine ont un meilleur goût que celles de l’Ultimate 
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Si on file les cartes fausses remplacées… Il devrait avoir du temps de jeu devant lui 
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HIer j’ai joué à Madeira à 4, 3h30 explications des règles comprises.
On est dans de la pose d’ouvriers pour barbu.e.s en manque de feuille excel, on doit jongler entre 5 resources, plus de la thune et du pain, pour gagner des points de victoire. Bon la thématique je suis un peu passé à côté, mais le plateau est joli (j’ai pas pris de photos deso).
Le trucs sympas du jeu c’est les objectifs : tu joues que 5 tours dans le jeu, et tu dois remplir des objectifs aux tour 1, 3 et 5. Sachant que c’est ta principale source de points faut essayer de s’y coller, mais y’a une vraie tension dans cette chasse aux objectifs car l’ordre du tour impacte beaucoup cette quête. En gros, si tu passes le premier tu seras premier joueur et pourra aller prendre l’objectif de ton choix au tour suivant. Oui ais du coup souvent ça signifie jouer une action de moins que les autres (sachant que tu peux en jouer que 3 ou 4 par tour c’est tendu)…
J’ai fini bon dernier, bien entendu (j’aime bien les jeux qui font chauffer le cerveau mais ma courbe d’apprentissage pour les tactiques qui en imposent est en pente douce) (à noter que c’était la première partie pour tout le monde).
Est-ce que j’y rejouerai ? Alors oui, mais rapidement, car les règles sont quand même pas hyper simples à appréhender En plus, on est pour moi complètement dans le jeu qui pardonne pas, tu te loupes tour 1, tu fais une action à un moment qui sert à rien, et t’es complètement dans les choux - et comme la partie est un poil longue tu peux vite te faire chier à la fin. D’ailleurs, on est dans le jeu à éviter si on est susceptible de tomber dans l’AP…
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Turing machine:
On a joué à deux avec ma femme et elle ne veut jouer qu’en coop ^^.
Sinon ça passe bien, juste bien comprendre que ce n’est pas un mastermind car au départ on a des réflexes même si je n’ai pas joué au mastermind depuis 30 ans probablement.
On a fait 6 parties.
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Salut les copains, j’suis de retour !
J’ai commencé par un « petit » rapport de ma journée d’hier au festival Place aux Jeux de Grenobles sur le topic d’en face :
J’y parle de Biotopes, de Terraforming Mars Arès Expedition le jeu de base et le mode Crise, et de Mindbug.
Continuons maintenant ma journée ludique 
Sea, salt and paper : 2 parties à 2 joueurs, total de 35 parties jouées
N’y allons pas par 4 chemins sinon le CR va encore être long : j’adore ce jeu.
C’est actuellement mon jeu le plus joué cette année, grâce à BGA, et du au fait que je sois éloigné de tous mes joueurs et notamment ma femme, cette année.
J’aime beaucoup la simplicité du gameplay, qui n’invente pas grand chose si ce n’est rien, mais qui donne un jeu extrêmement streamliné, très agréable, avec une édition au poil de cul. Ca devient vraiment un « go to » pour moi, même si la version en ligne est d’autant efficace par l’économie du temps de jeu (pas besoin de brasser le deck de carte entre chaque manche sur BGA).
Terraforming Mars - Prélude - Vénus Next (1 partie à 2, ma 84ème)
Bon, là non plus je ne vais pas réinventer l’eau chaude : j’adore TFM.
Là pour l’originalité de mon côté ce fut le premier test de Vénus Next. La seule extension que je n’ai pas et qui ne m’a jamais tenté. Mais là l’occasion est trop bonne pour que je passe à côté de l’essayer et de me faire finalement un avis sur chaque extension de ce jeu
On a joué donc avec le jeu de base, prélude et vénus.
Et … bah j’ai quasiment pas vu de cartes de Vénus de la partie 
Le plateau Vénus n’aura donc évolué que d’un seul niveau. Ne tombant sur aucune cartes le permettant, il me semblait bien plus intéressant de faire évoluer la température par exemple (moins cher, et qui avance la fin de partie : donc si je prends un NT sur ce paramètre, je m’assure que mon adversaire ne l’ait pas et que je fasse progresser la partie plus vite vers son dénouement à 2 joueurs c’est donc du Win-Win).
Par contre on a bien senti l’effet Venus Next c’est sur le rythme du jeu : chaque tour un des 3 paramètres globaux avance d’un cran. Donc finalement ça accélère vachement la partie, et ça se voit bien sur nos scores finaux 
Donc j’espérais faire un classement de mes extensions favorites après cette partie… mais je n’ai pas vraiment joué avec Venus finalement, donc c’est dur à dire. La partie n’a pas été franchement raccourcie en terme de durée (mais je jouais avec un joueur AP, avec ma femme je pense que ça peut permettre des parties d’une heure à peu près). Donc à refaire. Un coup dans l’eau.
Rauha (1 partie, 2 joueurs, notre première)
Un jeu très simple, rapide et efficace : 4 manches de jeu, chacune composée de 3 tours et d’un décompte. Un jeu de placement de tuile dans un carré de 3x3, ou on active les colonnes/lignes les unes après les autres en cherchant à optimiser notre moteur. Un petit aspect de « majorité » pour débloquer des divinités qui apportent des PV ou ressources.
C’est du bon jeu de casual je pense, une bonne petite initiation à la draft et aux jeux de moteur. L’édition est sympa, le jeu streamliné, pas grand chose à lui reprocher. On peut toujours dire que ça ne révolutionne rien, ça n’invente pas non plus grand chose, mais ça fonctionne. A voir du coup l’intérêt des gens en boutique pour ce thème et cet univers graphique, qui me semble un peu trop aride pour un jeu familial.
Les GRRRignettes (1 partie, solo, première)
Ce sont les « poster jeux » de chez GRRRRRe. Donc le temps d’attendre sa table, c’est toujours bien utile ! Un vrai jeu de festival … ou de toilettes du coup. Le poster représente un personnage (par exemple un dragon) composé de pleins de petits personnages. Le jeu fonctionne avec une appli : l’appli te lance un chrono et tu dois trouver en un temps imparti, le plus de personnage distinct.
Faut aimer le « ou est charlie », parce que c’est clairement pas un jeu que l’on sortirait chez moi en soirée jeu, c’est vraiment plus pour s’occuper en perdant 3min pour attendre autre chose.
Mais c’est jolie aussi.
Nidavelir (1 partie à 2, ma 16ème)
Je voulais faire tester mon pote. Et là avec le matériel « deluxe » (jetons poker, cartes sleevées) c’était l’occasion !
Encore une fois avec les jeux de gRRRRRe, c’est travaillé au poil : un graphisme très identifiable et unique, un jeu très streamliné et fluide, des choix. Ca marche au top.
La partie a été très plaisante, mon comparse et adversaire du moment décidant de me laisser toutes les pioches (oranges) et les cartes violettes, j’ai pu m’envoler :3
Mow (1 partie à 2, incomplète, première)
Alors là c’est la déception. Ce jeu était dans ma liste d’achat à faire avant la fin d’année scolaire (parce que je suis en mission jusque là en Haute Savoie, le pays de sieur Cathala, et que ce jeu y est une référence directe), et il l’est surement toujours. Mais la déception vient du mode 2 joueurs… clairement pas optimal, je pense qu’il devrait même être exclu de la config apparaissant sur la boite (quitte à le laisser dans les règles) pour pas que des gens l’achètent en pensant que ça se joue bien à ce compte là et soient déçus.
Nous on a fait une manche … et on est reparti. Et vu le scoring pad, on n’était pas les seuls !
Kites (2 parties à 2, les premières)
Le jeu en temps réel qui a un peu de buzz depuis quelques semaines. Le jeu est simplissime : 6 sabliers s’écoulent, il faut avoir épuisé toutes les cartes de la pioche et de notre main sans qu’un seul sablier ne se soit totalement écoulé. Pour ce faire : on joue une carte et on retourne les sabliers représentés sur celle-ci. Sauf que les 6 sabliers n’ont pas le même temps, le rouge est rapide (30s) puis le jaune (45") etc Et le sablier blanc ne se retourne que si l’on joue une carte avec un sablier unique dessus, mais n’a pas de cartes à sa propre couleur. C’est nerveux, rapide, ça force très bien la communication et après 2 parties … on était loiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin de réussir !
Un bon jeu de bar-à-jeux ou pour attendre que tous les joueurs de l’asso arrivent
Splendor Duel (1 partie à 2, première)
Alors cette nouvelle version dont tout le monde parle, elle est vraiment si bien que cela ?
Bah écoutez … si vous aimez ou vous avez déjà bien aimé Splendor, y a de bonnes chance que cela score chez vous. Le jeu est très sympa, tendu avec de nouvelles façons de réfléchir à notre avancée. Notamment grâce à la sélection des jetons qui ne se fait plus comme l’on veut, mais en sélectionner une ligne de 1,2 ou 3 jetons alignés.
Plus cette petite tension sur les parchemins que l’on pourrait offrir à l’adversaire, et qui lui permettent de piocher une ressource supplémentaire.
Un autre élément que je trouve super important, et dont je n’avais pas forcément lu grand chose : la nouvelle ressource perle/rose. Il n’y en a que 2 dans le jeu (toutes les autres ressources sont en 4 exemplaires), et de par sa rareté, elle est demandée pour pas mal de cartes chères ou qui rapportent pas mal de points de victoire ou de couronnes (la nouvelle valeur qui sert de scoring). Donc il y a un vrai aspect de blocage en arrivant à chopper les 2 perles et bloquer à la fois des cartes et des possibilités à son adversaire (me suis bien amusé à faire ça une bonne partie de notre jeu).
Clairement pour un couple de casual qui découvrent le monde du jeu, ce Splendor Duel aura le même effet que 7 Wonders Duel a pu l’avoir : un jeu malin et tendu, reprenant une mécanique appréciée par ces joueurs, mais en ajoutant des petites touches qui renouvellent bien le jeu.
Attention cependant, entre la nouvelle mécanique de choix de ressources, les « actions optionnelles », les parchemins, et les actions offrant des parchemins à l’adversaire … le niveau de difficulté est tout de même un cran au dessus du jeu de base. Un couple de personnes agées connaissant Splendor a voulu s’y essayer à côté de nous, et clairement entre les explications (efficaces mais rapides) de l’animateur qui devait s’occuper de nombreuses tables (et n’avait pas le temps de s’assurer que tout était bien compris en aidant sur les premiers tours), bah la petite dame était bien perdue et n’arrivait pas à jouer à cause de cette difficulté supérieure.
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top ton CR, on se croirait effectivement dans un festival, avec plein de présentations rapides de jeux qui donnent envie d’en savoir plus (ou pas).
Avec toi sur place, pas besoin de se déplacer !
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Merci beaucoup, c’est très gentil !!
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Tu m’as fait ajouter 2 jeux que je dois suivre et étudier de près maintenant 
Je ne te remercie pas !
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Je n’ai pas un grand nombre de parties à mon actif. Mais, perso, je sors Venus uniquement avec Colonies (et Préludes, tout le temps). Je peux sortir Colonies, sans Venus, mais jamais l’inverse. Même si ça dilue encore plus les cartes Venus.
Oh, tu m’intrigues du coup, pourquoi tu le sors jamais sans Colonie ?
Vous m’épatez à trier les extensions (mon pote est pareil), moi une fois intégré j’ai la flemme de trier les cartes et les ressortir alors je joue avec toutes (sauf Venus du coup, que je ne possède pas).
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C’est marrant moi je peux pas imaginer l’inverse… Par exemple un jeu et 3 extensions c’est 8 possibilités !! Si je laisse tout mélangé j’ai 1 possibilité à chaque fois…
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Exactement pareil. Je joue avec tout ou avec rien.
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Venus et Colonies ont des cartes qui combinent l’une et l’autre. Et je trouve Venus moins intéressante que Colonies. Je crois que c’est partagé par une grande partie de la communauté TM.
Pour les cartes, j’ai toutes les extensions de TM et pas mal de cartes promos (que je laisse dans le jeu de base). Alors les cartes Venus, Colonies et Turmoil, quand je joue dans ma config classique (soit base et Préludes), ça fait beaucoup de pollution. Et puis je suis un peu maniaque et (même si j’avais déjà des decks séparés pour les extensions) j’ai la Big Box, avec ses intercalaires.
À la suite de @NaHO, un retour sur les découvertes de Place aux Jeux (festival grenoblois).
Kites
Un jeu de sablier coopératif, rapide et stressant (forcément). Il faut réussir à vider une pioche de cartes sans qu’un seul sablier ne soit vide. 4 parties, 4 défaites. Et pourtant, on n’a pas passé trop de temps à débattre s’il fallait piocher au dessus ou au hasard 
Je ne suis pas la cible de ce type de jeu.
Mantis
« Par les créateurs d’exploding kittens » 
C’est un jeu de collection au gameplay simplissime : des cartes d’une couleur au recto, avec au verso trois couleurs dont celle qui correspond au recto. À mon tour de jeu, je pioche une carte (verso visible uniquement) et
- soit je la pose devant moi, je la retourne et je l’ajoute à ma collection. Si j’avais déjà des cartes de la même couleur, je les mets de côté (elles deviennent intouchables).
- soit je la pose devant un adversaire, je la retourne et deux cas de figure : si la couleur révélée correspond à une collection de mon adversaire, je lui pique toute cette collection. Si la couleur révélée ne correspond pas à une collection de mon adversaire, il garde la carte.
Le but est de sécuriser 10 cartes d’une même collection.
A l’explication, on s’est dit que ça ne volait vraiment pas haut, et finalement, ça ne vole vraiment pas haut. Mais inexplicablement on se prend quand même au jeu. Ça peut remplacer une partie de Uno sans problème.
Look at the stars
Un flip and draw qui nécessite une bonne vision dans l’espace (c’est le cas de le dire), où il faut tracer des constellations segments par segments.
L’idée de base est plutôt pas mal mais on a trouvé ça un peu long pour ce que ça propose. Et la DA est minimaliste (elle ne repose que sur le fait de tracer en blanc sur noir, d’ailleurs ça s’efface difficilement ces feutres).
Dans la galaxie des flip&roll&write&draw&build, il est complètement oubliable.
Gardiens des saisons
Un jeu enfant coopératif dans lequel il faut naviguer dans un livre pour aller chercher des objets, en étant poursuivi par le Loup.
Il y a déjà eu des retours sur le gameplay, je donnerai donc uniquement un ressenti : quel ennui… À chaque tour de jeu, une carte nous indique les déplacements de nos pions ; à partir de là, il n’y a quasi aucun choix réel, si ce n’est se jeter directement dans la gueule du loup (encore une fois, l’expression n’est pas choisie au hasard).
Dans notre partie, il fallait trouver quatre objets pour remplir la première partie de la quête. Évidemment, les objets en question étaient cachés dans les derniers endroits fouillés. Et deux de ces objets donnaient des nouveaux pouvoirs au personnage… Mais comme on les a trouvé en dernier, ils ne servaient plus à rien.
Une fois les quatre objets récupérés, l’histoire nous demande de les déposer dans quatre endroits différents, nous obligeant à remonter tout le livre en arrière. On s’est regardé avec ma femme et mes filles et on a conclu qu’on en avait vu bien assez.
Le tirage des objets aurait été différent, la partie aurait pu être plus sympa/courte/dynamique. En l’espèce, ça n’a pas été le cas.
C’est pas la première fois que SpaceCow semble proposer quelque chose d’intéressant et finalement est très plat.
Splendor duel
L’animateur : « Vous connaissez Splendor? »
Moi : « Oui. »
L’animateur : « Alors c’est pareil sauf que [égrène une longue liste de complications] »
Ou comment partir d’un jeu simple pour en faire un jeu compliqué, mais pas meilleur. Je ne suis pas un fan de Splendor mais j’avoue qu’il a ce côté facile d’accès qui lui permet de sortir de temps en temps, y compris à deux joueurs. Ce n’est plus le cas pour Splendor Duel qui nécessite un peu plus d’investissement.
On était content de terminer la partie.
Je trouve cette mode de décliner un jeu à succès sous toutes les coutures vraiment dommage, rare sont les essais transformés de mon point de vue. Si je veux un jeu un peu plus costaud que Splendor, et qui se joue à deux, j’irai chercher ailleurs.
Au final, aucun coup de coeur parmi les jeux découverts, mais je n’en attendais rien (les vrais découvertes scrutées et attendues se font à Cannes pour ma part).
Mais quand même un festival très plaisant, parce qu’il est très adapté aux enfants, et que j’ai pu rejouer à bon nombre de bons jeux (After Us, Happy City, Sonic, Challengers, Flamecraft…) et qu’on y fait de belles rencontres.
D’ailleurs je suis reparti avec un JDR qui me semble très prometteur, Tylestel. Je débute la lecture mais c’est bourré de bonnes idées et magnifiquement illustré.
Je reviens dans 1d6 semaines pour dire si c’était ça, le coup de coeur du festival.
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D’un côté les déclinaisons je ne suis pas forcément un grand fan, mais là c’est clairement l’une des plus grandes réussites pour moi. J’ai pu refaire des parties avec des compétiteurs comme moi, et ça prend toute sa saveur !
C’est tendu plein de blocage (perles, retirage du sac, parchemins, etc.) de l’adversaire, il y a de la réflexion tout le temps sur tous les paramètres, l’un des meilleurs jeux tactiques à deux pour cette durée que j’ai pu jouer (partie pas trop longue). C’est énorme !
Mais en effet ça n’a plus grand chose à voir avec son grand- frère où on peut (presque) jouer plan-plan dans son coin. Le public visé n’est pas le même pour moi mais c’est une grosse réussite.
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Dans ce niveau de complexité à deux joueurs, je préfère 1000 fois sortir un Champ d’honneur, où je retrouve tous les qualificatifs ci-dessus (mais en mieux).
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Je n’ai pas suffisamment joué à Champ d’honneur j’avoue, n’est-il pas un peu plus long ?
Soit notre partie de Splendor Duel a été particulièrement longue, soit c’est équivalent (30-45mn, et même 10-15mn en ligne)
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