Impressions après 2 défaites : c’est un très bon jeu. On en redemande tous (2 parties à 4 joueurs avec en tout 6 joueurs différents). Des fins de partie brusques presque imprévues, comme l’ont souligné certains.
Il nous semble que seul les piafs ne sont pas « outillés » pour scorer plus de 15 points en un tour : les autres en fin de partie, le peuvent ! Un peu gênant … De même, ce sont les seuls à pouvoir perdre des PV (par contre, ça colle bien avec l’idée qu’on se fait de la faction).
les regles demandent une lecture attentive. Au moins un point est resté en suspend :
Batailles/ 9- Retrait des pièces.
1° +1 PV par batiment /jeton retiré.
2°° Le despote Eyrie marque +1 PV si un batiment/jeton a été retir à l’issue d’une bataille
3°°° la carte du despote dit « if you remove « at least one ennemy bulding or token score 1 point
>>> on a compris qu’il marque au max 1 point quelque soit le nombre détruit dans la bataille
On comprend de 1° et 2°° que si le despote n’est pas le leader en jeu, Eyrie ne marque pas de points quand il détruit un bulding ou un jeton SAUF quand il a le despote … et que dans ce cas ses gains sont limités à +1 PV
Aurait il fallu comprendre que Eyrie marque +1 PV comme tout le monde et +2 PV quand le Despote est en jeu ?
Merci de votre retour
Karmakanik
Considérant que chaque leader à un avantage, on joue +1PV s’il détruit au moins un bâtiment au cours d’une bataille.
7ème partie jouée ce soir, c’est toujours un succès.
Une partie à 3 et les autres à 4 joueurs.
A 4, le jeu est beaucoup plus riche.
Une préférence pour le gameplay de l’alliance et du culte du lézard.
Hâte de tester le peuple de la rivière.
Le scoring exponentielle et le twist des cartes dominance sont plutôt appréciés.
En effet, 2/3 parties se sont terminées brusquement laissant tout le monde ballant, sans voix, souvent avec un joueur ou deux qui terminaient sinon à leur tour…
Vu 2 parties gagnées par les piafs au pv, dans un crescendo constant avec le despote (dont la partie à 3 joueurs, face à une alliance plutôt passive, le chat s’est fait becqueté ).