Nostromo-Éditions lance sa première campagne en financement participatif.
Après Aetherya, nous sommes ravis de lancer SA-RÊ, notre premier gros jeu !
Après l’échec du financement, sortie directe en boutique
En tant que successeur potentiel de Pharaon, vous êtes chargé d’édifier une nouvelle cité digne des dieux. Administrez votre future ville, lancez les bonnes constructions, veillez à ce que les ressources affluent tout en ménageant votre main d’œuvre.
Êtes-vous prêt à relever ce défi ? Sa-Rê est un jeu de stratégie pour 2 à 4 joueurs, mêlant habilement deux genres : la gestion de ressources et le « stop ou encore » pour une expérience de jeu unique.
Francois Bachelard a créé sa maison d’édition récemment. Le premier jeu édité dans cette maison fut Aetherya, sorti en avant première au FIJ.
Sa-Rê est le 2ème jeu de cette maison d’édition. J’ai pu voir les figurines à Cannes, elles sont vraiment bien. A voir s’il me fera penser à Pharaon.
Si on peu qualifier de « couille » le fait de m’être fait « emprunter » l’une de mes créations sans mon consentement par des individus peu scrupuleux alors oui, c’est était une grosse en ce qu’il me concerne
Je pense qu’à part le thème Égypte antique, les deux jeux sont extrêmement différents. Sa-rê se joue en 3 phases principales : détermination des chantiers à construire (et donc choix des bâtiments). Il y en a 13 différents (voire 14 avec l’un des stretchgoals) et chaque bâtiment offre des effets de jeux exclusifs. Par exemple, le bâtiment du menuisier une fois construit va produire du bois pour les chantiers et apporter une réduction en coût de bois sur les chantiers limitrophes. Le placement des bâtiments les uns par rapport aux autre est donc important. La caserne permet de réduire les risques de révolte sur votre site tout en pouvant aider à semer un peu de trouble chez vos adversaires.
Vient ensuite la phase de production qui va vous permettre de cumuler les ressources nécessaires à vos chantiers en « stimulant » vos ouvriers… (et à trop les f… stimuler, vous risquer la révolte). La mécanique utilisée est le Stop ou encore qui est joué simultanément par tous les joueurs. Il n’y a jamais de temps mort dans le jeu à attendre que chaque joueur joue son tour.
Dernière phase : une fois que tous ont mis fin à leur saison de production avant de préférence déclencher une révolte générale de leurs ouvriers (ça, faut l’éviter), chacun va construire ses bâtiments en chantier s’il dispose des ressources nécessaires.
Le premier à réaliser l’objectif de construction fixé en début de partie (il y en a plusieurs) peut faire un pied de nez à ses adversaires car il a gagné ! .
Voilà qui, je l’espère, donne une première idée du jeu par rapport à Pharaon
En fait, je faisais plus référence au jeu video city builder pharaon où il fallait creer une ville avec un taux de bonheur et certains bâtiments, plus que le jeu de plateau pharaon.
Tu as bien fait d’expliquer le pourquoi du comment du nom nostromo editions sur ton site, l’affaire avait vraiment laissé des traces dans les esprits et du coup c’est plus clair !