Set a watch en solo je suis large en dessous d’une heure perso…
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Il y a une variante non officielle qui permet de rendre la partie plus courte et compacte.
Je n’ai plus les détails mais de mémoire, ce ne sont plus 2 passages obligatoires au camp par perso mais 1 seul. Cela va de pair avec une autre répartition des cartes ennemies etc. Cela change l’équilibrage.
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Justement j’allais poser cette question sur le topic du jeu 
.
Tu sais où je peux trouver cette variante ?
Ça m’intéresse beaucoup.
D’ailleurs est-il intéressant de chopper le premier jeu pour les 6 héros supplémentaires mais aussi pour constituer les decks de cartes proposés en fin de livret?
Je ne pourrai plus te dire si c’est au détour d’un sujet BGG ou Reddit, désolé. Je vais essayer de le retrouver et le posterai.
EDIT un des sujets qui en parlent.
Le résultat est moins abouti que dans mes souvenirs mais c’est à tester :
Il me semble qu’il y avait un autre article ou sujet où Mike Gnade était intervenu pour expliquer son raisonnement et l’intérêt des 9 rounds mais peut-être ai-je confondu.
Pour ta question @Madmartigan , j’ai entamé le jeu à l’opposé de toi, ayant testé toute la première boîte mais pas encore le contenu de Mercenaires sauf quelques persos.
Donc aucune idée pour l’instant !
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J’avoue que j’ai bien rigolé à la lecture de cette phrase. Je me demande quels autres " petits " jeux vous avez dans votre ludo si vous estimez que Kamban et The gallerist c’est un petit jeu pas trop compliqué 
en dessous de 4h de jeu, c’est un jeu apéro mr ! 
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Kamban, c’est un Party Game
Ah bah qu’est ce qu’on se marre avec la manager
Oui, après ce jeu, je n’ai plus jamais regardé une Sandra de la même façon 
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Merci pour le lien ! Je vais regarder ça de plus près 
De même, je dirai que depuis Sandra, j’ai froid la nuit.
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Perso je trouve que les couvertures ça gratte.
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rah punaise il me tente bien Set a Watch… apres comme je suis completiste ca va etre galere de tout recuperer…
À part deux persos en plus et 2-3 autres babioles, l’édition ulule du premier n’est pas indispensable si tu as le deuxième jeu (mercenaires).
Après je suis bien content d’avoir pris la version ulule de Mercenaires car il y a vraiment des trucs sympas et surtout je ne possède que celui-là, pour l’instant.
Je pense que deux versions boutiques des deux jeux peuvent vraiment faire l’affaire.
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Hahaha
C’était peut-être pas clair. C’était moi qui avait envie d’un jeu pas trop compliqué. Mais c’est mon chum qui est parti choisir un jeu dans la ludo et manifestement lui avait envie d’un truc un peu plus relevé 
J’ai retrouvé Museum édition boutique qui dormait sous mon lit depuis presque deux ans.
Le thème et l’aspect collection m’attiraient beaucoup et puis je l’ai zappé.
Je ne m’attendais à rien lorsqu’on l’a essayé et en fait c’est pas mal du tout mis à part qu’à mon avis on risque d’en faire vite le tour même si j’ai l’extension Exposition Universelle.
S’il est conservé (musée tout ça, bref), ce sera clairement pour son thème.
Aucun des jeux essayés ces dernières semaines ne va partir, c’est bien mais c’est pas bien en même temps ^^. Seuls Meadow et peut-être Museum ont une chance de nous quitter d’ici quelques mois.
Edit: Finalement Museum va partir car on n’y jouera pas souvent et le mode solo est naze (on joue carrément pour deux).
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Souvent le problème des solos « sortis » du chapeau pour relancer et booster une campagne qui patine : un truc pas bien pensé, pas équilibré, pas très fun et au final inutile.
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En effet, les automates sont parfois trop prévisibles. Mais bon, faire soi-même une IA, ce n’est pas évident. Et si en tant que joueur on « perdait/prenant » en plus du temps à faire de vraies décisions, cela revient un peu à jouer contre soi-même aux échecs…
Aujourd’hui, j’ai joué à Tales of the Northlands avec Mme. C’est elle qui a choisi le jeu, mais ça m’allait très bien tant j’aime ce jeu. Une partie à 2 pliée en environ 1h qui s’est avérée très serrée (95 à 93… en ma défaveur). Pour rappel, nous jouons dans ce jeu des familles de nog, cherchant à aider Noggin le fils du défunt roi à prendre la couronne convoité par son oncle Nogbad. Pour cela, on va aider au fonctionnement du royaume et aider les héros à accomplir des sagas (c’est elle qui donneront la renommé nécessaire pour que Noggin puisse atteindre le trône. C’est un placement ouvrier très thématique (pour une fois c’est vrai) et avec quelques mécaniques originales, dont la façon de faire progresser les sagas ; chaque joueur pouvant y contribuer ; il y a donc une forme d’entraide, mais intéressée. Le jeu a été équilibré, moi misant sur la pêche pour avoir du poisson à foison et sur les Counting House et Mme sur le nombre de nogs et les inventions. 1 invention d’avance pour elle ainsi qu’un bâtiment de niveau 2 lui auront permis de compenser mon avantage sur les Couting House. Pour les sagas, ça a été très serré, chacun avançant de concert, ne voulant pas laisser l’autre décoller. C’est vraiment à la fin au comptage des points que l’on a pu définir le gagnant. Ce n’est as toujours comme ça dans le jeu.
En tout cas, voila un jeu qui mériterait d’être plus connu… ou du moins que j’apprécie toujours autant. Simplement mon placement d’ouvriers préféré.
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Aeon’s End Legacy of Gravehold
Campagne terminée hier soir.
C’est toujours un vrai plaisir de parcourir une nouvelle édition d’Aeon’s End. Mais je trouve que c’était le jeu le moins intéressant de tous (clairement le Aeon’s End de trop).
D’abord, la narration est parfois longue mais pas bien écrite du tout : l’écriture de l’histoire est laborieuse et suit un schéma qui se répète entre chaque affrontement jusqu’à que ce que ça devienne très fatigant. Le seul aspect agréable est de voir que les personnages ont vieilli et évolué (sauf les héros du jeu de base : ils étaient déjà vieux et sont toujours là, ils doivent avoir 150 ans quoi). Ca donne un côté « copains d’avant », « place des grands hommes » de Bruel (désolé) qui n’est pas désagréable quand on a suivi les épisodes précédents. Mais c’est laborieux.
Mauvais point.
Les Némésis et les mages disposent de mécaniques déjà vues pour la plupart. Pas de vraie nouveauté de ce côté là. C’est de la bonne came mais déjà consommée.
Mauvais point.
Le matos est pléthorique. Le passage du Legacy à un jeu jouable est très bon : on se retrouve avec une vraie boite de jeu pleine de mages et de Némésis que l’on peut poncer avec des decks adaptés à des parties one-shot (et même pour le mode expédition).
Très bon point.
La partie Legacy est complètement loupée par rapport au 1er Legacy : on colle assez peu de stickers et on ne développe pas assez ses personnages. La faute à une narration sur 2 volets qui est longue mais paradoxalement ne laisse pas le temps de se développer convenablement. Le 1er Legacy était très bon à ce titre : on commençait avec des mages tout fragiles et on finissait avec des brutes épaisses. Là, bah il ne se passe pas grand chose du côté des mages comme du côté du jeu : il n’y a plus ces cartes qui montent en puissance pour donner naissance à des cartes hyper dangereuses.
Mauvais point.
La difficulté n’est pas au rendez-vous : c’est beaucoup trop simple (1 seule Némésis m’a causé du fil à retordre, et encore).
Mauvais point.
Le dernier combat révèle une mécanique intéressante et un joli retournement de situation. Là, pour le coup, c’est un grand final avec des choses nouvelles et surprenantes.
Très bon point.
Si je devais conseiller 1 jeu de la gamme, je dirais qu’il faut se tourner vers The New Age (le meilleur à mon goût). S’il fallait choisir entre Legacy of Gravehold et le 1er Legacy, il faut foncer vers le 1er Legacy.
Enfin, dernière pensée concernant la narration. Quand on ne sait pas spécialement écrire et développer un monde cohérent et de qualité, on peut faire le choix d’un autre type de narration, plus elliptique à la From Software : parfois, il est préférable de semer des bribes d’univers pour former un tout cohérent que de se forcer à dérouler du texte ad nauseam.
Les jeux précédents étaient bien plus efficaces sur l’histoire grâce aux textes d’ambiance des cartes et à ceux que l’on trouve au verso des plateaux de mages et de Némésis : quelques paragraphes courts permettaient de donner du corps aux personnages et ce qui n’était pas explicité prenait vie dans l’esprit du joueur (qui se charge de rendre le tout cohérent). Ca me fait penser à la série de JV des Souls où l’on arrive parfois à raconter une meilleure histoire avec rien plutôt qu’en étant inutilement bavard.
Enfin, cette semi-déception m’a poussé à lâcher Astro Knights : je crains une vilaine impression de déjà joué.
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