Le bot @damsrpg qui répond aux questions sur le Discord, il est vraiment très pratique ! Merci à lui
(noob pas battu par l’auteur, mais par @Xylis )
jeu passé par KS, mais que j’ai acheté dans sa version retail :
Endless winter
J’en avais entendu beaucoup de bof, de mouais, de « le matos est top mais le jeu est OK ». Bon, comme j’adore ce thème et que je trouvais le matériel vraiment magnifique, et que la lecture des règles me faisait pressentir quelque chose qui pouvait me plaire, j’ai craqué et pris le jeu de base+ ancètres + radeaux + peintures… Et j’ai bien fait !
Je ne reviendrai pas sur le matériel, je dirai juste : magnifique !
Les illustrations, on aime ou pas, mais elles sont de qualité.
La rédaction des règles est bien faite. Claire, ce qu’il faut d’exemples, précise, pas de question restée sans réponse, et au final je suis peu revenu au livret pendant mes parties.
J’ai essentiellement joué au jeu de base (je viens juste de faire une partie avec radeaux) en : moi contre moi (au début pour comprendre les règles), en solo ou enfin contre mon mari. Donc mon avis ne s’étend pas aux parties à 3 ou 4 joueurs.
Et bien j’ai trouvé le jeu vraiment très très bon, clairement il va devenir un classique à la maison. Toutes les mécaniques sont connues, mais ça tourne ensemble à merveille. Juste 4 actions, mais c’est toujours des dilemnes d’arriver à choisir laquelle faire, car cela oblige toujours à des sacrifices. En fin de partie, à chaque fois une frustration positive de n’être pas arriver à faire plus, mieux, de ne pas arriver à faire tout ce que l’on souhaite. En gros un jeu aux règles au final assez simples, mais profond et très prenant, pleins de choix cornéliens. Ce que j’aime et j’attend d’un jeu en fait. Le contraire d’un Lacerda en somme (Joke, pas taper!).
L’extension radeaux, du très peu que j’en ai effleuré, m’a l’air très bien et permet de monter plus facilement en puissance en facilitant et accélérant le déploiement sur la carte.
Bref, jeu qui je trouve n’a pas vraiment eu la reconnaissance qu’il me semble mériter, en tout cas selon mes critères
20 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Endless Winter - par Fantasia Games | VF par Matagot
Voilà mon CR de la partie de dimanche.
2 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Hybris - Disordered Cosmos - par Aurora Game Studio
Je ne sais pas trop où en parler/partager et espère qu’ici conviendra car beaucoup de jeux KS sont mentionnés.
Je viens de tomber sur une série de tests écrits sur BGG, en anglais, que je trouve vraiment bien faits, les mécaniques de jeux sont détaillées de façon avancées et compréhensibles. Le tout illustré comme il faut avec plein de photos de mise en situation et avec des incrustations Paint qui expliquent bien.
C’est apparemment un Français au doux pseudo de through ages.
En tout cas merci à lui, j’ai énormément apprécié les quelques tests lus pour l’instant (Bullet, Gloomhaven, Aeon’s End, Nemesis, Maiden’s Quest et Project L). Il figure d’emblée parmi mes testeurs et rédacteurs préférés. Je me garde les autres tests pour plus tard et espère qu’il en rédigera beaucoup d’autres !
EDIT
Je suisvsur téléphone donc galère de compiler tous les noms de jeux.
En plus de ceux précédemment mentionnés, il y a :
- Through the Ages évidemment
- Mage Knight
- Spirit Island
- des jeux DVG comme Thunderbolt Apache Leader ou des Warfighter
- Shadowrun Crossfire*
Leaving Earth - Sleeping Gods
- etc.
Je viens de lire la revue Mage Knight, c’est effectivement remarquablement construit. Merci pour cette découverte !
Hyper agréable à lire. Mérite pour le partage !
The City of Kings:
Première vraie partie hier soir en 2h environ sur la première histoire.
Je suis arrivé jusqu’au chapitre 3 mais j’ai fait pas mal d’erreurs stratégiques. La difficulté pour cette histoire m’a semblé relevée mais faisable et plutôt équilibrée, in verra pour les prochaines et au pire il y a facilement moyen d’ajuster la difficulté ne serait-ce qu’en modifiant notre « nombre de vies ».
Concernant le jeu lui-même je l’ai trouvé très très bon.
Je n’ai pas trop ressenti l’aspect puzzle pour le moment (et au pire je le jouerai façon aventure en baissant la difficulté), le matériel est de très bonne qualité, même s’il n’y a pas de rangement digne de ce nom malgré la version deluxe.
Les règles sont finalement très simples et c’est très fluide, c’est un jeu très agréable à jouer.
Mais ce que j’ai préféré par dessus tout, c’est le côté montée en puissance de mes personnages, on le ressent vraiment et assez rapidement, ce qui est très bien car les parties ne s’éternisent pas (je pense descendre à 1h30 de temps de jeu, du moins pour la première histoire, si ça se trouve les autres taperont dans les 3 heures…)
En bref, je suis conquis.
Hier soir j’ai déballé Spintronics pour vérifier que je n’avais pas écopé d’un manuel incomplet : ouf ce n’est pas le cas.
Du coup j’ai commencé la première leçon : mais quelle tuerie ! Va falloir que je me motive pour terminer avant Turing Tumble qui est déjà génial mais là quel kif ces pièces.
J’ai aussi déballé et commencé une première partie de Keep the heroes out! : j’adore le matériel et suis bien content d’avoir pris la totale car c’est trop meeeeugnon
Les règles sont bien conçues et j’ai tout compris même en anglais mais il y a des petits détails auxquels il faut faire attention sur l’algorithme des héros pour ne pas se tromper. Après je pense qu’en pur solo c’est un peu chaud et je pense qu’il faut démarrer en soluo. J’avais choisi les slimes, mes préférés.
A propos ceux qui aiment ces bestiaux peuvent lire les deux premiers tomes du manga By the grace of gods sur la réincarnation d’un otaku dan d’un monde de fantasy (thème très très à la mode en ce moment) et qui se retrouve au départ isolé dans une forêt et apprivoise des slimes. Le développement est ingénieux et calme. Ça se lit facile pour un bon moment.
Eheh, c’est du bon les jeux de luis.
Je te conseille (un peu plus abstrait mais tout aussi mignon) night parade et ses extensions. C’est du compétitifs là mais tellement choupinet.
Je louche aussi sur son autre tower defence, dwar7s winters!
Je l’ai aussi bien sûr…
on veut des images et des vidéos
Fantasme ou fantasy ?
En effet, il y a une saturation de ce genre de manga isekai et c’est parfois Fantasy, parfois fantasme et parfois les deux en même temps
Fantasy !
Cela dit il y a un passage ou pour transformer un slime il faut l’eau du bain et évidemment…
Voilà voilà.
Il y a peu, je vous contais ma découverte de Weather Machine, le dernier Lacerda.
Un jeu esthétiquement superbe, au matériel glorieux.
Je l’ignorais alors, mais j’avais mangé mon pain blanc. Car très vite, l’équilibre allait être ramené dans la Force, et surtout dans ma vie de joueur.
Oui. Hier soir, j’ai joué à Dark Venture : Battle of the Ancients - 4 joueurs
Ho punaise …
DV:BOTA est un Kickstarter financé en novembre 2020 par 953 larrons. Tous déficients visuel, ou parfaitement inconscients comme le pote qui l’a fait échouer hier soir sur notre table. « Nan mais c’est un jeu avec plein de factions, on s’affronte sur une map, ça a l’air sympa ».
C’est vrai. C’est un jeu avec plein de factions. Et de héros aussi, que vous pouvez substituer aux factions si le cœur vous en dit. Et on se tatane bien sur une map, jusqu’à atteindre … 30 points de victoire.
DV:BOTA, c’est Root en fait. Un Root complètement cramé imaginé un homme seul, Rob Lemon. Un rejeton au physique ingrat (le jeu, pas ce bon vieux Rob), tout aussi asymétrique que son prédécesseur, mais nettement plus abordable.
Le plateau de jeu est un gros carré de 16x16 cases, avec même des bâtiments à étage. Vides. Donc inutiles.
Chaque faction a en effet ses petites spécificités, plus ou moins complexes, à appréhender. Tenez, moi, j’ai pris les Bohmerk. Un bohmerk, c’est une sorte de gelée ocre croisée avec une carpe. En gros, ça nage bien et ça se divise/fusionne à volonté (mais dans la limite d’une fois par tour). Le voisin avait des mutants qui deviennent plus fort en dépensant des points de mouvement. Un autre des humanoïdes assez quelconque mais capables d’appeler des renforts et de se bricoler des armes. Quelques différences donc, mais rien d’impossible à gérer : contrairement à Root, DV:BOTA est un jeu où vous n’avez pas à vous soucier du gameplay des copains et de leur dynamique de gain de PV pour gagner.
En gros vous avancez, vous collectez tout plein de trucs qui traînent (objets ou ressources) et quand vous le sentez bien, vous tapez. Vous pouvez même faire des prisonniers (qui peuvent s’évader !). Enfin pas ma faction. Les Bohmerks, ils les absorbent les prisonniers. Les objets aussi. C’est comme ça qu’ils grandissent.
Mon plateau de faction. Les jetons sont mes p’tits Bohmerks, plus ou moins costauds, attendant la curée.
Vous tapez, vous collectez, et vous essayez de remplir les 3 conditions requises pour avoir le droit d’invoquer votre Grand Ancien. Un super-jeton hyper balaise, qui vous donne aussi pouvoirs et capacités badass. Et … voilà. Tout cela est drivé par le jet de 6 dés, qui vous permettent soit de vous déplacer (orthogonalement ou en diagonale), soit d’activer vos pouvoirs de faction. Que les malchanceux se rassurent, on peut stocker des dés inutilisés/inutilisables d’un tour à l’autre (jusqu’à 3), pour faire de grosses séquences le moment venu.
Ceci est un poulet, que vous pouvez capturer pour le faire gambader sur la map et combattre. Des évènements peuvent faire spawner des créatures comme celle-ci, c’est marrant.
Et cette partie ? On l’a écourtée quelque peu, à 20 PV, car un joueur anglophobe souffrait trop des tartines de textes dégueulasses imprimées un peu partout, et des particularités de sa faction, un peu technique à jouer. On y a quand même passé 2h30 et … voilà quoi, pas grand chose à raconter. Trop de prudence et d’attentisme de notre part, sans doute. Hé, on est joueurs euros avant tout : si on avait pu construire un pont ou une ferme chacun à un coin de la carte, on l’aurait fait.
L’ergonomie de ce jeu est une catastrophe. Ca, c’est l’étal du marchand, un PNJ qui arpente la map. Immonde.
Pas une réussite donc. Pas un terrible échec non plus. Un pur one-man project issu du crowdfunding quoi, avec son lot de qualités et de défauts. Le contenu est généreux (avec des modes coop, solo, des scénarios, et tout plein de trucs que j’ai pas vu), l’univers très personnel (comprenez : original et moche) mais tout cela est plombé par l’absence totale de travail éditorial et par un gameplay poussif.
De trop gros défauts par les temps qui courent. Il sera vite oublié.
On a sorti aussi 1998 ISS - 3 joueurs.
Je vous la fais vite car je fatigue : excellent filler, avec un thème surpuissant, qui tient dans une toute petite boîte ! C’est un jeu de sélection d’action rapide, qui vous permet de participer à l’édification et au développement de la station spatiale internationale. Pour triompher, vous devrez bien maîtriser le tempo du jeu pour ne jamais être à court d’astronautes en orbite, les seuls capables de réaliser pour vous les actions et projets scientifiques synonymes de points de victoire. Hé ouais, car ils ne restent pas là-haut 3 plombes nos amis : les fusées décollent au rythme des actions choisies par les joueurs, et à moins de les affecter à des séjours de longue durée (emplacements très recherchés), ils auront vite fait de se tirer par la première navette venue. Et tant pis si vous ne leur avez rien fait faire depuis leur arrivée.
Très bien celui-là.
Bon ben pas de regrets pour Dark Venture même si je me suis bien marré avec ton retour !
Merci
Merci pour le CR et la rigolade !
Bohmerk, ça fait un peu mot-valise issu du croisement illégitime entre beau, merde et berk
Ce qui finalement résume bien ton CR